Montag, 27. September 2010

Laisseriez-vous 1 500 francs sur votre bureau?

Laisseriez-vous 1500 francs (1500$ ou 1000€) sans surveillance sur votre bureau? La plupart d’entre-nous répondrait «Non».

Pourtant, chaque jour de nombreux collaborateurs laissent leur ordinateur portable d’une valeur supérieure à 1 500 francs sans surveillance sur leur bureau. Ils invitent ainsi tout simplement un collègue malhonnête, un technicien de maintenance opportuniste ou un voleur astucieux à accéder à des données sensibles ou à voler leur ordinateur.

Votre ordinateur portable possède de nombreuses fonctions de sécurité telles que logiciels anti-virus, protection firewall personnelle, programmes de cryptage de données et mots de passe complexes. Cependant, une grande partie de la sécurité de votre ordinateur est de nature physique. N’oubliez pas que les ordinateurs portables sont portables pour les voleurs aussi bien que pour vous!

Les vols d’ordinateurs portables sont en augmentation et pas seulement dans les aéroports, les hôtels et les restaurants fréquentés par les personnes en voyage d’affaire. Les ordinateurs portables disparaissent de plus en plus fréquemment des bureaux. Un rapport d’IBM publié en 2007 sur la sécurité des ordinateurs portables indique que quarante pour cent des ordinateurs portables volés ont disparu au bureau. Quand un ordinateur portable est volé, la perte est toujours double: d’une part, il faut considérer la perte de l’appareil, et d’autre part, la perte de toutes les informations personnelles, commerciales et de l’entreprise enregistrées sur le portable. Les voleurs peuvent tirer un bénéfice rapide de la vente de l’ordinateur, mais aussi causer davantage de dommages s’ils accèdent aux données commerciales, aux informations financières de l’entreprise ou aux messages e-mail enregistrés sur l’ordinateur. Et si vous enregistrez vos mots de passe sur votre ordinateur, les informations qu’ils protègent sont aussi mises en danger. Safeware, une organisation internationale se focalisant sur la sécurité de l’ordinateur et des données, estime que 15 à 20 milliards de dollars de données et d’informations sont perdus chaque année à cause de vols d’ordinateurs portables.

Les voleurs sont des opportunistes

Si votre ordinateur portable n’est pas verrouillé, attaché et surveillé, il pourrait devenir également introuvable: volé car vous n’avez pas pris les précautions nécessaires pour le protéger et le mettre à l’abri. Que pouvez-vous faire? Suivre ces instructions:

  • Mettez à l’abri votre ordinateur portable quand vous quittez le bureau.
    Cachez votre ordinateur portable et protégez-le contre les voleurs opportunistes en le rangeant dans une armoire ou un tiroir verrouillé quand vous quittez le bureau à la fin de la journée. Considérez également de le mettre sous clé quand vous sortez pour déjeuner ou pour une réunion inattendue. Et si vous êtes absent pour un court instant? Fermez votre bureau à clé, si possible, pour tenir votre ordinateur portable à l’abri des regards de voleurs potentiels.
  • Verrouillez votre ordinateur quand vous le laissez sans surveillance.
    Vous ne pouvez pas toujours le cacher ou le mettre sous clé quand vous vous éloignez, mais vous pouvez le verrouiller pour empêcher à des tiers de l’utiliser. Appuyez sur Ctrl+Alt+Sup et cliquez sur «Verrouiller Ordinateur» pour activer l’économiseur d’écran protégé par mot de passe et empêcher à toute personne passant devant votre ordinateur de voir les informations affichées sur votre écran ou d’utiliser vos applications. Il pourrait se révéler assez gênant si quelqu’un envoyait un e-mail embarrassant en votre nom depuis votre ordinateur portable non surveillé ou si quelqu’un lisait les données sensibles sur la page Excel que vous avez laissée ouverte.
  • Éteignez votre ordinateur. Ne le laissez pas en mode «hibernation» ou «en attente».
    Éteignez votre ordinateur à la fin de la journée ou quand vous partez pour une période prolongée. Ne le laissez pas en mode «en attente» ou en «hibernation». Les pirates informatiques peuvent toujours extraire les informations sensibles de la mémoire principale d’un ordinateur quand il n’est pas complètement éteint.
  • Ne gardez jamais une copie écrite de vos mots de passe dans la sacoche de votre ordinateur portable ou en vue sur votre bureau. Apprenez-les par cœur.
    Écrire les mots de passe et les coller sur votre écran, les laisser dans la sacoche de votre ordinateur ou les ranger sous «Mots de passe» est comme laisser votre voiture dans un endroit dangereux avec les clés au contact. C’est un comportement qui vous expose aux problèmes! Apprenez vos mots de passe par cœur.
  • Protégez vos données.
    Récemment, l’IDC a déclaré que 97% des ordinateurs portables volés ne sont jamais retrouvés. Il est donc important que vous procédiez à une sauvegarde régulière de vos données. Ne vous attendez pas à revoir votre ordinateur portable s’il disparaît. Imaginez de perdre tous vos contacts, votre calendrier, vos documents Word et Excel et des années de photos numériques. Quelle que soit la valeur de ce que vous gardez dans votre ordinateur, une sauvegarde est nécessaire. Et si vous gardez des informations confidentielles ou des secrets commerciaux sur votre ordinateur portable, vous devez vous en soucier davantage encore. Le conseil de base est d’effectuer une sauvegarde régulière de toutes les données importantes présentes sur le disque dur de votre ordinateur portable. Si votre ordinateur portable n’est pas équipé d’un outil de sauvegarde, veuillez contacter le centre d’assistance local pour demander la procédure de sauvegarde approuvée.

Si par malheur, votre ordinateur portable a été volé, contactez le centre d’assistance local pour recevoir des instructions sur la façon de dénoncer le vol et de récupérer les données perdues.

Source: Zurich Compagnie d'Assurances
Image: B. Glättli

Freitag, 17. September 2010

Studie: Sinkendes Interesse am Internet

Das Internet erweitert die Möglichkeiten zur Teilnahme aller, doch wenige wollen mitmachen. Zuerst war HTML zu kompliziert für Herr und Frau Jedermann, dann die CMS und heute krankt auch das Web 2.0 - nicht weil es zu kompliziert ist, sondern weil die Menschen zu faul sind.

Eine deutsche Studie erkennt im Vergleich zum Vorjahr ein sinkendes Interesse an aktiver Beteiligung im Internet. Äusserten 2009 13% der Befragten eine gewisse Bereitschaft, auf Online-Plattformen mitzuwirken, sind es nun bloss noch 7%. Unter den Teenagern sank die Zustimmungsquote von 49% auf 35%. Bei den 40- bis 49-Jährigen nahm sie von 28% auf 12% ab.

Twitter stellt auch nach mehr als vier Jahren immer noch ein Minderheitenphänomen dar. Nur 9% der 14- bis 19-Jährigen Twitter «zumindest selten», bei allen anderen Altersklassen sind es deutlich weniger. Und zwei Drittel der Befragten haben den Dienst für Kurzbotschaften bloss passiv genutzt, also gelesen.

Auf begrenztes Interesse stossen ebenso die Blogs, die wie Twitter in den Medien grosse Aufmerksamkeit finden. 7% der Befragten gaben an, Blogs zumindest selten genutzt zu haben. Am stärksten ist die Beachtung unter den 14- bis 19-Jährigen (14%) und den 20- bis 29-Jährigen (12%). 60% der Befragten klicken Blogs an, melden sich aber selber nicht zu Wort.

Den grössten Zuspruch unter den Diensten, welche eine Teilnahme der Internet-Nutzer erlauben, finden die Enzyklopädie Wikipedia (73%) sowie Videoportale wie Youtube (58%). Doch auch hier bleiben die meisten passiv. So beschränken sich 92% der Besucher von Videoportalen aufs Abrufen von Filmen und Filmausschnitten. Am beliebtesten sind Musikvideos, vor allem unter den Teenagern (91%). Bei den Foto-Gemeinschaften sind ein Drittel der User halbwegs aktiv.

Das sogenannte Web 2.0, so bilanzieren die Studienautoren, sei nicht in erster Linie darum attraktiv, weil es das Mitmachen ermögliche, sondern weil es ein klassisches Nutzungsbedürfnis erfülle: Information und Unterhaltung.

Quelle: Neue Zürcher Zeitung

Bild: Wirtschaftswoche, Düsseldorf

Donnerstag, 2. September 2010

Vierte Gewalt gefährdet Demokratie

Weit verbreitet ist die Befürchtung, es gehe puncto Qualität der journalistischen Angebote vor allem bergab. Diese Ansicht teilt auch der Zürcher Soziologieprofessor Kurt Imhof. Am 13. Auhust 2010 hat er ein umfassendes Datenmaterial der Öffentlichkeit vorgestellt, das einen Überblick über die Schweizer Medienlandschaft verschafft und die düsteren Perspektiven wissenschaftlich bekräftigt.

Im Kern geht es den Forschern um eine politische, inhaltliche Frage: Unterrichten die Schweizer Medien die Bevölkerung so, dass die Bürger wohlinformiert an den demokratischen Prozessen teilnehmen können? Die Autoren erkennen höchst problematische Tendenzen:
  • immer mehr Klatsch; weniger Politik, Wirtschaft und Kultur.
  • weniger Nachhaltigkeit; nur noch Episoden, Personen.
  • Auslandberichterstattung stark abgebaut.
  • Wirtschaftsinformation bleibt mangelhaft.
  • Gratiszeitungen und Internet senken das Bewusstsein für Preis der Informationsqualität.
  • Einbruch bei Werbeeinnahmen erschwert die Finanzierung redaktioneller Leistung.
Schlimmer noch: Die Bedeutung derjenigen Medientitel, die wenig zur Informationsqualität beitragen, wird weiter wachsen; der recherchierende, einordnende Journalismus gerät weiter unter Druck.

Da sich die Presse sich vermehrt an den Unterhaltungsbedürfnissen der Konsumenten orientiert, «statt an Informationsbedürfnissen der Staatsbürger» ist nach Ansicht von Imhof das Funktionieren der Demokratie in der Schweiz gefährdet. Mit seinen Forschungsdaten will er nun die Diskussion über Aufgabe und Qualität der Medien fördern.

Quelle: Neue Zürcher Zeitung