Mittwoch, 24. August 2011

Facebook? Google+?

Das ist eine Übersetzung des bedenkenswerten Editorials aus c't Magazin für Computer-Technik 16/2011 (Link zum deutschen Original).

Facebook? Non, jamais! De nombreuses personnes ont juré ceci; voulaient attendre et voir, au lieu de commencer directement. Avec une vitesse alarmante, la cour de récréation sociale a muté à un monstre affamé que avala toutes les informations privées de ses utilisateurs, les connecte sans leur demander avec d'autres ou même distribue des informations sensibles au public.

Heureux l'homme qui a été permis d'observer de l'extérieur, plutôt que de vivre l'expérience de première main. Et il reste un mécontentement latent, le sentiment d'avoir raté un lien important. Bien sûr, il ya encore Twitter qui a des possibilités, mais très limité. Médias sociaux pour une retraite anticipée.

Google+ entre soudain sur scène. Le plus savoureux fonctionnalités de Facebook, mais moins nerveuses. Une interface simple, conçu par un gourou du bien-estimé Macintosh. Barrières de contrôle flexible pour la protection de la vie privée. Que voulez-vous encore de plus? Allons-y!

Maintenant, on devrait y avoir accès. Google+ a le plus strict des portiers, que l'on peut imaginer. Avec Gmail vous auriez du vous abriter pour éviter d'être innodés d'invitations. Chez Google+, même une invitation ne veut pas encore dire que vous pouvez réellement accèder: «À l'heure actuelle, notre capacité est occupé, s'il vous plaît ressayez plus tard.» Après trois jours «actualiser» est enuyant, et la touche F5 branle déjà.

Que faire avec le temps d'attente jusqu'à ce que l'on ya a accès? Vous pouvez méditer sur ce que vous voulez impliquer justement. Jusqu'à maintenant, Google n'avait pas la main heureuse avec les médias sociaux. Google Wave n'était compris par personne. Puis une tempête de commentaires négatives l'ont décoiffé - tous sur le thème de la vie privée. Alors, plutôt non, car la vie privée non protégé on a déjà assez sur Facebook.

Google+, cependant, vient avec une vision claire: «Comme Facebook, mais pas sur Facebook.» Cela me suffit, c'est déjà acheté. «Grâce à des fonctionnalités supplémentaires.» Oui s'il vous plaît, je les veux! Permettez-moi d'entrer. Prenez mes données. Liez-les avec l'historique de mes recherches, avec mes vidéos sur YouTube, avec la vue de la rue sur mon appartement. Monétarisez-moi avec Google Ads et Google Checkout. L'essentiel est: laissez-moi enfin participer.
F5, F5, F5, F5.

par Gérald Himmelein
Illustration: fakeblog.de

Samstag, 13. August 2011

Zerstören soziale Netzwerke unsere Beziehungen?

David Plotz ist Herausgeber des Slate Magazine. Im Juli machte er ein Experiment, das beweisen soll, dass soziale Netzwerke im Internet Beziehungen zerstören, da niemand Freund von hunderten oder gar tausenden sein kann.

Im Juli stellte Plotz seine 1556 ahnungslosen Freunden auf Facebook auf die Probe: Heimlich veränderte seinen Geburtstag so, dass er zusätzlich zu seinem echten, bereits gefeierten Geburtstag drei weitere im Juli hatte. Das war ein Test, um zu sehen, ob seine Freunde ihm mehrere Geburtstagswünsche schicken würden. Und das taten sie. In der Tat: Eine ganze Anzahl wünschte ihm alles dreimal Gute zum Geburtstag alles. Dumme Facebook-Freunde!

Für Plotz beweist dies, dass Facebook-Nutzer seelenlose soziale Roboter sind: "Eine beträchtliche Anzahl der Benutzer nutzen den Dienst ohne Gefühl. Sie versuchen mit rasch hingeschreibenen Geburtstagsgrüssen billiges soziales Kapital - unverdientes soziales Kapitals - aufzubauen, ohne auch nur einen Gedanken an das Geburtstagskind zu verwenden."

Plotz, der sein Konto zur Promotion vorn Artikeln nutzt, kennt von den über 1500 Freunden die wenigsten: Nur 100 von ihnen seien tatsächlich Freunde, höchstens 200 hat er im richitgen Leben je gesehen.

Wer ist mehr von der wahren Bedeutung von Freundschaft entfremdet, die Facebook-Nutzer, die reflexartig Geburtstagswünsche an Pseudo-Freunde versenden, oder die Benutzer, die blind sich mit hunderten von Zufallsbekanntschaften aus dem Internet anfreunden? David Plotz ging sinngemäss einen Ballsaal voller 1500 Fremden und rief: "Heute ist mein Geburtstag!" und jemand begann zu singen.

Das Problem dabei ist nicht, dass Facebook unsere Freundschaften zerstört. Es ist, dass David Plotz und mit ihm tausende von Leuten nicht wissen, wie man ein soziales Netzwerk nutzt. Dies sieht man, dass sein Profil vollständig öffentlich ist, dass etwa nicht nur seine 100 echten Freunde, sondern auch die 1400 übrigen sein Geburtstag sehen.