Dienstag, 15. Dezember 2009

La vie privée à 100% au résautage

Dans cet article, Joachim Rumohr donne les conseils les plus importants pour une vie privée à 100% dans des réseaux virtuels à l'exemple de Xing. Si vous ne souhaitez pas être contacté par n'importe quel membre ou personne ne devrait voir votre liste de contact, définissez les options selon les instructions suivantes.

Contact
Vos coordonnées enregistrées sont généralement accessibles que pour les contacts auxquelles vous les avez approuveé. Vous pouvez donc entrer toutes ces informations sans hésitation. Pour modifier l'accès à vos informations personnelles, suivez Contacts > Afficher les informations personnelles visibles

Site internet entreprise
Dans les données de l'entreprise (expérience de travail), vous pouvez entrer l'adresse de votre site de l'entreprise. Parce que cette adresse peut être cliqué sur votre profil, vous devez le faire s'il n'y s aucune information directe pour communiquer avec vous sur le site de votre employeur, si vous voulez proteger votre sphère privée.Si cet accès indirect est bloqué, il faut se demander par contre, pourquoi on a un profil sur un site de résautage professionel.

Vue du profil sur internet (pour les non membres)
Votre profil peut être vu par défaut aussi par les non-membres de Xing, par exemple par une recherche sur internet. Vous pouvez éviter cela en choisissant l'option Acceuil > Paramètres > Mes paramètres de confidentialité > Mon profil est également accessible aux personnes qui ne sont pas membres. Désactiver.

Votre profil dans les moteurs de recherche
Sur le même site (Acceuil > Paramètres > Mes paramètres de confidentialité) se trouve aussi égal à la rubrique "Mon profil est accessible aux moteurs de recherche". Désactiver, si vous ne voulez pas, que votre profil soit trouvé p. ex. avec Google ou Yahoo. Si votre profil n'est pas visible pour les non-membres, mais trouvable pour les moteurs de recherche, quelqu'un qui vous trouve doit d'abord s'inscrire sur le réseau pour voir le profil.

Attention: Si vous participez aux discussionsdans les forums des groupes, désactivez aussi "Mes articles dans les groupes sont accessibles aux moteurs de recherche". Sinon les moteurs de recherche n'affichent pas votre profile, mais vos contributions, d'où un simple clique de souris mène vers le profil.

Liste de contact
Au même endroit, on peut désactiver la visibilité des contacts pour les autres. Il y a d'autres possibilités, qui protège la sphère privée un peu moins, mais qui augmenterons les effets du résautage: contacts visible uniquement pour mes contacts ou pour les contacts et leurs contacts.

Messages et commentaires
Pour que pas n'importe quel membre peut vous écrire un message, choisissez l'option "que mes contacts directs" sous la rubrique "Membres autorisés à m'envoyer des messages et à écrire sur mon livre d'or" du menu "Acceuil > Paramètres > Mes paramètres de confidentialité". Là aussi, il faut se poser la question, pour quoi être sur un réseau de contact si on bloque la communication. Ainsi on bloque des demandes d'affaires.

Livre d'or
Le livre d'or vous pouvez supprimer complètement. Ainsi vous êtes protégé contre les entrées non désirées. C'est simple: Cliquez dans son propre profil sur "Livre d'or" et puis sur "Désactiver le livre d'or".

Membre des groupes
Pour que personne ne peut voir dans quelles groupes Xing vous êtes membre, vous devez désactiver la visibilité des groupes. Puis les petits icônes de groupes dans votre profil ne s'affichent plus. Modifiez cela ici: Acceuil > Mon profil > Mes groupes > Modifier la visibilité des groupes Il est possible d'afficher certains groupes seulement, par exemple ceux dont l'affilation vous semble pertinant pour le travail ou votre profil.

Vos articles dans les groupes
Si vous contribuez dans des groupes ouverts qui peuvent être lus en dehors de Xing et ne voulez pas que ceci se voit de l'extérieur (donc à travers des moteurs de recherche), désactivez "Mes articles dans les groupes sont accessibles aux moteurs de recherche" dans le menu Acceuil > Paramètres > Mes paramètres de confidentialité.

Ces notes, je les ai écrites pour tous ceux qui sont absents de Xing, parce qu'ils avaient peur d'un afflux de contacts et les messages non désirés. Ou souhaitez-vous être membre de Xing en sachant que tout le monde voit simplement tous vos donnés? Il faut rouver la balance entre la spère privée et d'être trouve par d'autres membres de Xing, car Xing et en fait un réseau professionel (ce qui fut plus clair avec son ancien nom Open Business Club) pour faire - à long terme - des affaires. Donc, il faut bien réfléchir à chaque réglage, sans tomber dans les extrèmes de tout ouvrir ou tout vérouiller. Selon le travail que l'on fait et ce que l'on attend du résautage, les réglages ne seront pas exatement les mêmes.

Source: Joachim Rumohr, traduit, adapté et augmenté.

Une liste de sites de résautage professionnel en allemand sur ce blog.
S'inscrire sur Xing et recevoir pendant le premier mois un accès privilégié.

Dienstag, 1. Dezember 2009

Rettet die Privatsphäre

Eine Privatsphäre gibt es heute praktisch nicht mehr. Menschen betreiben digitalen Exhibitionismus im Internet, Unternehmen jubeln über gläserne Kunden, aber viele Menschen fürchten die neue Offenheit.

Lew McCreary geht in einem interessanten Aufsatz auf die manigfaltigen Facetten der Privatsphäre ein: Wie rettet man die Privatsphäre? Schimpf und Schande im Internet. Wer die Privatsphäre schützt. Was eine Frage der Generation ist. Wo der Teufel im Detail steckt und warum Datenschutz so wichtig ist. Der Aufsatz ist auf der Seite des Harvard Business-Manager frei zugänglich.

Kapitel 1 (Teile 1-4)
Kapitel 2 (Teile 1-4)

Mittwoch, 25. November 2009

Von Bären und Ethik

Ein lesenswerter Artikel in der Neuen Zürcher Zeitung über sich stellende Fragen nach glimpflich verlaufenen Umfällen mit Menschen in Bärengehegen in letzter Zeit wirft selbst Fragen auf: Kommt der Mensch vor dem Tier? Und: Wie steht es mit der Ethik der Informationsvermittler?

Im Notfall müsse die ethische Frage «Mensch oder Tier?» zugunsten des Menschen entschieden werden, schrieb die NZZ am 24. November 2009. Dachte ich ich auch. Doch während dem Lesen kamen erste Zweifel auf: Wenn jemand über den Zaun klettert, den Graben überspringt und eine Mauer überwindet, um in ein Bärengehege zu gelangen und der Bär sich dann natürlich verhält, indem er sein Revier verteidigt, soll dann «Mensch vor Tier» absolut gelten und gegebenenfalls der Bär geschossen werden? Im Falle eines Unfalls wäre die Antwort für mich klar, aber in den im Laufe der letzten Zeit vorgekommenen Fällen (Mutter rennt mit Kinderwagen im Nationalpark einem Bären nach, jemand klettert in Berlin ins Bärengehege, desgleichen in Langenberg «um dem Bären hoi zu sagen» und kürzlich in Bern)? Da habe ich keine Antwort mehr.

Die NZZ weist hingegen richtigerweise auf die Rolle der meistgelesenen (und gehörten und geschauten) Medien hin: Sowohl der Bär im Nationalpark, als auch der «Waisenbub» in Berlin wurden oft als quasi lebendiger Teddybär dargestellt, als Wesen, wie Balu im Disney-Film. Und da stellt sich die ethische Frage nicht mehr nur «Mensch oder Tier», sondern viel mehr auch der Informationsvermittlung. Wieweit tragen die Massenmedien im Kampf um Auflagezahlen, Unterhaltung und Infotainment vor allem bei der urbanen Bevölkerung zu einem hier grobfahrlässig falschen Bärenbild bei?

Dienstag, 17. November 2009

Archives: un DVD presque immortel

La compagnie Cranberry a développé un DVD (on peut y stocker 4,7 GB et il est lisible sur n’importe quel lecteur DVD) qui a une durée de vie théorique de plus de 1000 ans (il n’a pas de couche réflective pouvant se détériorer… il est transparent).

Ce DVD nommé DiamonDisc est capable de supporter une température de 176 °C, mais la sécurité a un prix puisqu’il faut un graveur spécial qui coûte 4 995 Dollars . Le DVD DiamonDisc seul coûte 35 Dollars. Ceci pourra intéresser les organismes possédants beaucoup d’archives numériques, mais la question demeure: Dans 1000 ans y aura-t-il encore des lecteurs DVD?

Source: Le Journal du Geek

Dienstag, 20. Oktober 2009

Soziale Netzwerke expandieren

Soziale Netzwerke wachsen - aber nicht alle gleich schnell. Wie aus einer Zusammenstellung der Bilanz vom Oktober 2009 hervorgeht, entwickelt sich das umstrittene Facebook zu einem eigentlichen hype mit exponentiellem Wachstum.

Eine andere Beobachtung bezieht sich auf die business network: Während sich Xing und Linkedin lange ähnlich schnell parallel entwickelt haben, scheint den Amerikanern nun der grosse Sprung nach vorne gelungen zu sein. Dies ist einigermassen erstaunlich, sind die Möglichkeiten für Standard- und bezahlende Benutzer ähnlich, Xing hingegen ist in einer grossen Anzahl Sprachen verfügbar. Im deutschsprachigen Raum bleibt Xing aber weiterhin Marktführer. Linkedin behauptet, bessere Datenschutzeinstellungen anzubieten, während Xing dem Nutzer den Speck durch den Mund zieht, indem der Wert des Netzwerkes in Geld umgerechnet wird. Was aber diese sozialen Netzwerke privat oder geschäftlich langfristig bringen, steht weiterhin in den Sternen.

Montag, 12. Oktober 2009

Vom echten Wert von Freunden

Die Internet-Plattform Facebook ist ein Riesenerfolg. Auf dem beliebten Kommunikationsnetzwerk tummeln sich bereits mehr als 200 Millionen Leute. Wohin die Masse auch strömen mag, die Werbung ist nicht weit. Google, das seinen wirtschaftlichen Erfolg den Millionen Benutzern seines Suchdiensts verdankt, kann davon ein Lied singen. Deshalb sind auch die zahlreichen Facebook-Benutzer ein gefundenes Fressen für die Werbebranche. Nicht zuletzt gilt das für jeden einzelnen Facebook-Nutzer – vorausgesetzt, er hat genügend Freunde.

Aus dem sportlichen Wettkampf, mehr Facebook-Freunde als andere aufzulisten, ist ein Geschäftsmodell geworden. Echte Freunde kann man bekanntlich nicht kaufen – bei Facebook-Freunden geht dies. Eine findige Gesellschaft im fernen Australien bietet Facebook-Freunde im Multipack an. Für $ 177.30 bekommt man 1000 neue Freunde auf sein Konto gutgeschrieben und nicht irgendwelche, sondern nach Kriterien ausgewählte Personen. Das Unternehmen rechnet vor, dass jeder Freund einem Marketing-Wert von 1 $ pro Monat entspricht. Weil dieser keine 20 Rp. kostet, sollte er sich also rasch amortisieren. Wer gleich 5000 neue Freunde will, kommt noch billiger weg. Und wem das wegen der von Facebook auf 5000 limitierten Obergrenze noch immer nicht genügt, kann sich (zum gleichen Preis) Tausende von Fans beschaffen. Die ganze Sache zeigt, wie sich herkömmliche Werte in der virtuellen Welt entwerten. Als Leser von Papier- und Online-Zeitungen dürfte man ähnliche Erfahrungen gemacht haben.

Quelle: gvm. in: Neue Zürcher Zeitung, 4. September 2009.

Donnerstag, 1. Oktober 2009

Rechtliche Aspekte zur Privatsphäre

Der Streit der Datenschützer mit Google um die detailreichen Strassenaufnahmen ist etwas aus der Öffentlichkeit gerückt. Gelöst ist er jedoch noch lange nicht. Das amerikanische Unternehmen verzichtet zur Zeit auf Aufnahmen in der Grossregion Zürich, grast dafür das Tessin ab. Die detailreichen Strassenbilder haben etliche Kritiker mobilisiert. Deren Befürchtungen teilen allerdings nicht alle Beobachter. Ein interessanter Beitrag der Neuen Zürcher Zeitung befasste sich mit den rechtlichen Aspekten des Daten- und des Persönlichkeitsschutzes.

Vor rund 100 Jahren ermächtigte das Schweizer Zivilgesetzbuch (ZGB) jemanden, der «in seiner Persönlichkeit widerrechtlich verletzt ist», gegen alle Verletzer den Richter anzurufen (Art. 28). «Persönlichkeit» hat der Gesetzgeber bewusst nicht definiert: Das würden die Gerichte schon entwickeln. So geschah es.
Grenzen der Öffentlichkeit

Heute gilt «Persönlichkeit» als Bündel von Facetten, die individuelle Züge der Persönlichkeit ausmachen. Eine wichtige solche Facette ist das Recht am eigenen Bild. Wer sich in Gruppen auf der Strasse bewegt oder im Stadion sitzt, nimmt in Kauf, beiläufig abgebildet zu werden; sonst soll er zu Hause bleiben. Am Stadioneingang warnen Plakate und Aufdrucke auf den Billetten, dass die Kamera die Besucher im Schwenkbereich erfassen kann. Anderseits muss der werktags gestylte Börsenhändler, der auf der Fussballtribüne das Hemd auszieht, nicht dulden, von der Kamera halbnackt aus der Menge herangezoomt und so publiziert zu werden.

Eine solch «fokussierte» Verletzung des Rechts am eigenen Bild ist widerrechtlich, ausser es liegt ein Rechtfertigungsgrund vor – so etwa ein überwiegendes öffentliches Interesse, mit dem meist die Medien ihre Nahaufnahmen rechtfertigen (Bundespräsident Merz am Cup-Final, ein protestierender Bauernführer an der Demo). Am Richter ist es, in den gar nicht seltenen Prozessen die Abwägung im Einzelfall vorzunehmen. Erst vor 15 Jahren hat das Parlament beschlossen, dass das ZGB angesichts der rasant beschleunigten Bild- und Speichertechnologie nicht mehr ausreicht. Es erliess das Datenschutzgesetz (DSG), um das ZGB zu ergänzen und zu präzisieren.

Heute sind Individuen berechtigt, im Sinne der Selbstbestimmung über Einträge ihrer Daten informiert zu werden, ja sogar Korrekturen zu erzwingen. «Gesammelt und bearbeitet werden so viele persönliche Daten wie nötig und so wenige wie möglich».

Wenn die versprochene automatische Unkenntlichmachung von Gesichtern und Autonummern oder die Löschung eines im Garten ab der Autodachkamera Abgebildeten nicht erfolgt, können Persönlichkeitsrechte verletzt werden. Der Datenschutzbeauftragte tut gut daran, Google beim Wort zu nehmen und mit einem Sperrantrag gemäss ZGB und DSG bei den Bundesgerichten zu drohen – solange die vollmundigen Datenschutzversprechen des Datengrossversorgers Google nicht annähernd perfekt funktionieren.

Quelle/ganzer Artikel: Neue Zürcher Zeitung, 4. September 2009.

Dienstag, 15. September 2009

Abfall im Archiv und Abfall des Archivs?

Hat erst einmal ein Dokument Eingang gefunden in ein Archiv, lässt es sich kaum mehr zum Verschwinden bringen. Nichts könnte diese verwaltungstechnische Gründlichkeit eindrücklicher belegen als die Tatsache, dass jüngst im Archiv der Bundesanwaltschaft Kopien der Tinner-Akten zum Bau von Atomwaffen zum Vorschein kamen, die angeblich auf Wunsch der CIA und zum Ärger der Schweizer Strafverfolgungsbehörden allesamt vernichtet worden waren. Die Betretenheit des Bundesrats angesichts der Zuverlässigkeit seiner Archivare lässt darum nicht gerade auf ein tieferes Verständnis für ihre Berufsauffassung schliessen. Von Aktenvernichtung steht kaum etwas im Pflichtenheft der Archivare; ihre Kernaufgabe liegt in der Konservierung.

Wie unvermutet viel komplexer die Vernichtung von Akten als ihre sachgerechte Aufbewahrung ist, mussten übrigens schon die Archivare der Stasi erfahren. Über 16 000 Säcke mit geshredderten Akten konnten nach dem Zusammenbruch der DDR sichergestellt werden. Seit zwei Jahren puzzelt nun in Berlin ein vom Fraunhofer-Institut für Produktionsanlagen und Konstruktionstechnik entwickeltes System die Stasi-Schnipsel wieder zusammen. Darum gilt: Was einmal im Archiv liegt, wird man kaum mehr los. Die Kunst der Vernichtung hat mit der Kultur der Archivierung nicht Schritt gehalten. Aber wie gelangt ins Archiv, was ein Mensch als Lebens- oder Arbeitsspuren hinterlassen hat?

Erinnerungsmaschinen
Archive im Allgemeinen und Literaturarchive im Besonderen sind nicht nur gewaltige Erinnerungsmaschinen sowie auf Vorrat und in Unkenntnis von zukünftigen Erkenntnisinteressen angelegte Gedächtnisspeicher. Sie sind regelrechte Abfallvermeider und Müllverwerter. Auf die Frage, ob und gegebenenfalls wie in den Dichternachlässen das Unbrauchbare vom Brauchbaren getrennt werde, antwortet Irmgard Wirtz, Leiterin des Schweizerischen Literaturarchivs in Bern, ganz entschieden und resolut: «Es gibt keinen Abfall.» Gewiss, so fügt sie einschränkend hinzu, werde nicht alles entgegengenommen. Nachlässe und Privatarchive würden gesichtet. Nach Bern komme nur, was belangvoll sei und Auskunft geben könne über Leben und Werk eines Autors. Dazu gehören auch Steuererklärungen, Briefe sowieso, doch auch Gegenstände, sodann die Privatbibliothek, soweit sie Gebrauchsspuren aufweise.

Aber Archivare reden nicht gern über abgewiesene oder gar vernichtete Bestände. Das sei ein heikles Thema, heisst es. Auch im deutschen Literaturarchiv in Marbach windet man sich. Ulrich von Bülow, Leiter der Handschriftenabteilung in Marbach, gibt zwar bereitwillig Auskunft, behaglich ist ihm dabei nicht. Die Frage nach archivalischem Abfall ist sichtlich indezent. Im Jargon der Archivare wird für die Benennung des Vorgangs ein eigener Terminus verwendet: Kassation heisst hier die Aktenvernichtung. Das klingt vornehmer und verschleiert die Tatsache, dass vollends Abfall wird, was dem Urheber schon zur Last geworden war und nun nicht einmal mehr der Archivar (im Dienste welcher Zukunft?) aufbewahren will.

So sind die Archivare in mancher Hinsicht durchaus wählerisch. Was unerheblich oder entbehrlich sei, so Ulrich von Bülow, gehe zurück an den Absender oder weiter in die Müllverbrennung. Ohnehin seien die Magazine in Marbach in absehbarer Zeit voll. Allein schon darum könne man nicht alles nehmen. Wie aber kommt etwas ins Archiv, damit es sich aus der Gegenwart in zukünftig dokumentierte Vergangenheit verwandeln soll? Es gibt ein probates Mittel, freilich ist es nicht ganz gefahrlos: Indem die Schriftstellerin oder der Schriftsteller eigenhändig Teile des eigenen Archivs zur Vernichtung bestimmt, seien es Briefe, Tagebücher oder Manuskripte. Nichts weckt das Forscherinteresse nachhaltiger als das, was der Urheber vor der Nachwelt verborgen wissen wollte. Ein durchgestrichenes Wort in einem Manuskript von Robert Walser? Es wird sich dem Gedächtnis der Wissenschaft vielleicht stärker einprägen als vieles andere in dem betreffenden Text. Ein zerrissener Brief oder Zettel? Jeder Literaturhistoriker wird sich darauf stürzen.

Ludwig Hohl hat Tausende von Zetteln bei seinem Tod der Nachwelt hinterlassen. Vieles davon hat er zerrissen, aber nicht vollends zerstört. Vermutlich von Hohls Witwe, Madeleine Hohl-de Weiss, sind sie wieder zusammengeklebt worden. Auf einem weiteren Zettel hat er eine Vernichtungsverfügung hinterlassen, von der nicht mit Sicherheit zu sagen war, worauf sie sich bezog. Nicht allein darum ist sie erhalten geblieben wie im Übrigen alles, was von ihr hätte gemeint sein können. Denn ein solches unvollendetes Autodafé ist natürlich die schönste Einladung an die Nachgeborenen, gerade hier genauer hinzuschauen und den exegetischen Scharfsinn mit detektivischem Spürsinn zu paaren.

Kaum einer hat diesen Doublebind der Selbstdeklaration intuitiv vielleicht genauer durchschaut als der Kulturphilosoph und Schriftsteller Rudolf Pannwitz. In seinem Nachlass fanden sich drei Umschläge, in denen er Materialien zur Physik gesammelt hatte. Zwei Umschläge sortierten das Material alphabetisch, der dritte Umschlag war beschrieben mit «PHYSIK Abfall». Kein verantwortlicher Archivar käme auf den Gedanken, an dem Umschlag und seinem Inhalt zu vollziehen, wozu seine Beschriftung anstiftet. Rudolf Pannwitz ist vor vierzig Jahren gestorben, und man kann sich denken, dass seither nicht mehr viel geblieben ist von ihm; was er aber einst als Abfall bezeichnet hat, überdauert in säurefreien Behältnissen und bei konstanter Temperatur und Luftfeuchtigkeit in Marbach.

Die Historisierung der Gegenwart
Nie zuvor hat eine Zivilisation so sehr an ihrer eigenen Historisierung gearbeitet wie unsere Gegenwart, schreibt der Philosoph Hermann Lübbe in seinem Buch «Im Zug der Zeit». Kaum eine Kunst hat sich in den vergangenen Jahrzehnten so sehr entwickelt wie die Kunst der Abfallvermeidung in unserer Schriftkultur. Wo aber alles aufbewahrt wird, schwindet in der Masse der Dokumente die Aussagekraft einzelner Zeugnisse. Die Kehrseite der verfeinerten Kultur der Aufbewahrung ist die Tabuisierung des Abfalls. Wo kein Fitzelchen der archivalischen Achtsamkeit entgeht, wird die Erinnerung dereinst am überlieferten Material ersticken.

Vielleicht lautete darum die Frage nicht, wie in die Archive kommen soll, was wir hinterlassen, sondern vielmehr, was davon überhaupt in die Archive soll, wenn sie denn nicht an ihrer eigenen Verschlingungssucht zugrunde gehen sollen. Hermann Lübbe hat zur Lösung dieses Konflikts die Herausbildung eines ganz besonderen Zukunftsverhältnisses empfohlen: «eine gegenwärtige Vorwegnahme künftiger historischer Interessen an derjenigen Vergangenheit, die unsere Gegenwart einst geworden sein wird». Und wie hat Hermann Lübbe seinerseits das künftige historische Interesse an seiner Gegenwart vorweggenommen, als er seinen Vorlass ins Literaturarchiv Marbach übergeführt hat? Einen erheblichen Teil habe man, so berichtet Ulrich von Bülow, mit Hermann Lübbes Einverständnis an die Müllverbrennung weitergegeben.

Quelle: Von Roman Bucheli, in: Neue Zürcher Zeitung, 11. April 2009, Nr. 84, S. 55.

Freitag, 28. August 2009

Manga - les bandes déssinées japonaises dans nos bibliothèques

Un jeune scientist de l'information, Olivier Petereit de l'Haute École de Géstion de Genève, publia réçament un guide sur les bandes déssinées japonaises «manga» dans nos bibliothèques.

Bien que ce document s'adresse en priorité aux bibliothèques d'écoles secondaires, en raison de son approche très générale et des thématiques pouvant concerner un grand nombre de bibliothèques, il peut intéresser tout bibliothécaire désirant approcher la thématique du manga ou en approfondir ses connaissances.

Cette petite publication «Le manga dans les bibliothèques scolaires (d'enseignement secondaire): guide d'intégration», est disponible à l'adresse suivante :

http://campus.hesge.ch/id_bilingue/doc/tb_petereit_guide.pdf

Ce document ne fera pas l'oeuvre d'autre forme de diffusion. Pour cette raison, toute personne interessée est invitée à faire circuler ce lien à toutes personnes que cela pourrait intéresser. Le but de ce document est d'être utile, l'aide dans sa diffusion lui permettra d'atteindre son objectif.

Source: Oliver Petereit

Freitag, 14. August 2009

Übersetzungswebsites – guter Service oder Sicherheitsrisiko?

Websites wie Google Translate, Yahoo! Babel Fish oder Microsoft Bing Translator bieten eine bequeme Möglichkeit zur Übersetzung von Wörtern und Sätzen von einer Sprache in eine andere.

Einige dieser Übersetzungswebsites haben einen interessanten Hintergrund und eine spannende Geschichte. Zum Beispiel basieren die Methoden, mit denen Google Übersetzungen verarbeitet, auf mathematischen Prinzipien, die von einem amerikanischen Wissenschaftler in den 1940er Jahren entwickelt wurden. Und Yahoo! Babel Fish verwendet ein Übersetzungssystem, das in den 1960er Jahren ursprünglich für die US-amerikanische Luftwaffe entwickelt worden war. Obwohl es also computerunterstützte Übersetzung schon seit Jahrzehnten gibt, liefert sie nicht immer akkurate Übersetzungen.

Doch neben dem Problem der Genauigkeit der Übersetzungen sollten sich Benutzer auch der Risiken hinsichtlich Datenschutz und Sicherheit bewusst sein, welche die Nutzung von Übersetzungswebsites mit sich bringt. Sobald eine Übersetzungswebsite verwendet wird, ist stets auch eine Drittpartei in den Übersetzungsprozess involviert, und der Benutzer kann nicht genau wissen, wie der zur Übersetzung abgeschickte Text verarbeitet oder gespeichert wird. Dies mag zwar bei einzelnen Wörtern ein minimales Risiko darstellen, doch wird es ein kritisches Risiko bei längeren Textpassagen, die vertraulicher oder geheimer Natur sind. Um Risiken hinsichtlich Datenschutz und Sicherheit bei der Nutzung von Übersetzungswebsites zu vermeiden, sollten Benutzer sich an die folgenden einfachen Faustregeln halten:

  • Vertrauliche, geheime und wichtige Übersetzungen müssen entsprechend den Anweisungen Ihrer Firma durchgeführt werden, unter Verwendung einer der empfohlenen Übersetzer. Wie oben dargestellt, wissen die Benutzer nicht, wie der zur Übersetzung abgeschickte Text verarbeitet oder gespeichert wird, und durch diese Massnahmen wird dieses Risiko vermieden.
  • Schauen Sie sich die entsprechenden Inhalte gut an und lassen Sie gesunden Menschenverstand walten: Wenn die Inhalte vertraulich oder geheim wirken (z. B. Informationen über Kunden, Geschäftspläne, Finanzdaten und/oder Protokolle von Sitzungen, etc.), sollten Sie nicht auf Übersetzungswebsites zurückgreifen, sondern den oben genannten Empfehlungen in Hinblick auf Übersetzungen folgen.
  • Berücksichtigen Sie auch die Textmenge: Übersetzungswebsites mögen zum Übersetzen weniger Wörter effizient sein, sollten aber nicht für die Übersetzung ganzer Dokumente verwendet werden.

Falls Sie hierzu noch Fragen haben, wenden Sie sich bitte an Ihren Informatikverantwortlichen. Zur Übersetzung einzelner Begriffe eignet sich das freie Wörterbuch http://dict.leo.org sehr gut.

Quelle: Valerie Jenkins

Dienstag, 4. August 2009

Les sites de traduction: un bon service ou un risque pour la sécurité?

Les sites Internet comme Google Translate, Yahoo! Babel Fish et Microsoft Bing Translator permettent de traduire facilement des mots ou des phrases d’une langue à une autre.

Certains de ces sites de traduction bénéficient même d’une origine et d’un historique intéressants. Par exemple, le traitement des traductions de Google s’appuie sur des théories mathématiques développées par un scientifique américain dans les années 40 et Yahoo! Babel Fish se sert d’un système de traduction développé à l’origine pour l’armée de l’air américaine dans les années 60. Même si la traduction assistée par ordinateur existe depuis de nombreuses décennies, elle n’aboutit pas toujours à des traductions d’une grande précision.

En plus des problèmes de précision des traductions, les utilisateurs doivent être attentifs aux possibilités de violation de leurs données privées et aux risques pour la sécurité que génère l’utilisation de sites de traduction. L’utilisation d’un site de traduction implique automatiquement l’intervention d’un tiers dans le processus de traduction et il y a de grandes chances que l’utilisateur ignore comment le texte qu’il donne à traduire est traité ou stocké. Le risque peut paraître négligeable en ce qui concerne quelques mots isolés, mais il prend bien plus d’importance lorsqu’il s’agit de textes plus longs qui peuvent être de nature sensible ou confidentielle.

Pour éviter toute violation de données privées et tout risque pour la sécurité du fait de l’utilisation de sites de traductions, nous invitons les utilisateurs à respecter ces quelques petites instructions pratiques:

  • les traductions sensibles, confidentielles et importantes doivent être traitées conformément aux directives de votre entreprise en faisant appel à une des agences de traduction officiel de votre compagnie. Comme indiqué ci-dessus, il se peut que l’utilisateur ignore comment le texte qu’il donne à traduire est traité ou stocké. De cette façon, il contribue à éviter cette prise de risque:
  • vérifiez le contenu et réfléchissez: si cela vous paraît sensible ou confidentiel (si, par exemple, le texte contient des informations sur les clients, des plans stratégiques, des comptes-rendus financiers et/ou de réunions, etc.), évitez tout recours aux sites de traduction et reportez-vous aux directives de traduction précitées;
  • pensez au volume: les sites de traduction peuvent être un outil efficace pour traduire quelques mots mais ils sont à éviter pour des documents entiers.

Pour toute question, n’hésitez pas à contacter votre équipe locale de sécurité informatique. Pour la traduction de termes isolés, il est conseillé d'utiliser http://dict.leo.org, une source libre.

Source: Valérie Jenkins

Dienstag, 21. Juli 2009

Geistiges Eigentum hat einen zunehmend schweren Stand

«Ist das Urheberrecht ein Papiertiger?» fragt die Neue Zürcher Zeitung provokativ: Auf dem Papier sähe es gut aus für die Urheber: De iure besitzen sie das unveräusserliche Recht zur Verwertung und Bearbeitung ihrer Werke. Aber die Wirklichkeit des Internets sieht anders aus; und was dem kontinentalen Urheberrecht billig ist, ist dem US-Copyright durchaus fremd.

Der interessante und äusserst lesenswerte Artikel von Joachim Güntner aus dem Feuilleton ist hier zugänglich:

Quelle: Neue Zürcher Zeitung, 21. Juli 2009.

Freitag, 10. Juli 2009

Avantgarde wird man nicht, wenn man den Trends hinterher hechelt.

«Dies ist das Bekenntnis eines Menschen, den das Informationszeitalter abgehängt hat: Ich bin weder in Facebook noch MySpace präsent. Ich chatte, twittere und blogge nicht. Ich benutze SMS nur unter Gewaltandrohung und MMS nicht einmal dann. Und immer häufiger fühle ich mich als Sträfling auf einer Galeere, wo Mailbox und Handy unerbittlich die Schlagzahl bestimmen. Keine Angst: Ich bin noch nicht klinisch tot. Aber wenn ich den Kommunikationsfachleuten glauben darf, schon fast nicht mehr existent.

Nie hätte ich mir träumen lassen, dass George Orwells Horrorvision der totalen Überwachung dereinst nicht von einem totalitären Staat sondern vom biederen, informationssüchtig gewordenen Bürger wahr gemacht wird. Anstatt «unplugged» leben wir längst «overplugged». Zu gut deutsch: Wir ziehen nicht den Stecker, um uns mit wirklichen Menschen in greifbarer Nähe abzumühen, sondern wir laden via Facebook jeden x-beliebigen Heini ein, unser «Freund» zu sein. Wir stehen vor einem realen Scherbenhaufen im Privatleben, haben aber dafür den Durchblick, wenn es um Amy Winehouse geht.

Als ich vor einer Woche Gast in einem ehemaligen Benediktiner-Kloster war, da hatte ich eine Vision (ganz ohne elektronische Unterstützung): Wenn ich Alt-Bundesrat wäre, würde ich hier zwanzig Millionen einschiessen. Ich würde die besten Designer und Architekten engagieren und in das historische Gemäuer eine spartanische Infrastruktur mit hochwertigen Materialien und exquisiter Ästethik einfügen. Eine radikale Vision von «Schlichtheit» hatte ich, und dafür braucht es erfahrungsgemäss viel Geld. Zu den technischen Innovationen des Hauses würde gehören: Kein WLAN, keine Anschlüsse für Internet, Telefon und Fernsehen, und den Handy-Empfang würde ich arealweit stören. Dann würde ich «Informationsfrei auf Zeit» anbieten. Oder Tagungen mit unabgelenkt präsenten Teilnehmern. Und ich würde mich selbst als Stammgast anmelden.»

Quelle: Thomas Binotto in Pfarrblatt der Zürcher Katholiken 15/2009.

Montag, 29. Juni 2009

Datenschutz in (sozialen) Netzwerken

Wieder einmal warnt der Datenschützer: Soziale Netzwerke sind heikel. nicht des Teufels, aber eben: heikel. Es zu einem guten Teil jedoch an den Benutzern, wie viel sie von sich im Internet preisgeben wollen. Mit ein paar Verhaltensregeln können sie verhindern, dass private Daten kursieren, die nicht für alle zugänglich sein sollten:
  • Grundsätzlich sollte man vorsichtig sein mit der Veröffentlichung persönlicher Daten (Namen, Adressen, Telefonnummern) und Gesinnungen (polit. Ausrichtung). Es sollen – falls möglich – Pseudonyme verwendet werden.
  • Die Benutzer sollten sich immer fragen, ob sie bei einem Bewerbungsgespräch mit den veröffentlichten Daten konfrontiert werden möchten – und dies auch noch nach zehn Jahren.
  • Die Privatsphäre von Dritten soll respektiert werden. Weder sollen Benutzer deren Personendaten veröffentlichen noch Fotos mit deren Namen beschriften.
  • Das Verhalten von Anbietern soll kritisch begutachtet werden. Besteht beispielsweise ein Datenschutz-Gütesiegel?
  • Heikle Daten gehören nicht ins Internet. Informationen und Fotos sollen nur für einen beschränkten Nutzerkreis freigegeben werden.
  • Für verschiedene Dienste sollten unterschiedliche Log-ins und Passwörter verwendet werden.
Zu den ersten beiden punkten ist jedoch anzumerken, dass manche gar keinen Einfluss auf gewisse Veröffentlichungen haben: Wahlresultate, Mitarbeiter einer Firma oder die Daten aus dem Handelsregister sind heute nicht mehr nur öffentlich auf dem Amt oder der Firma einsehbar, sondern im Netz und werden von Suchmaschinen auf dem Silbertablett präsentiert.

Daraus ableiten kann man ein pragmatisches Vorgehen: Was steht sowieso im Netz? Das kann man auch getrost in Netzwerkseiten angeben – unter Beachtung der obengenannten Punkte des Datenschützers wohlverstanden.

Dienstag, 9. Juni 2009

L'Afrique en ligne

Metafro Infosys est un répertoire des ensembles de données et des sources de données liées à l'Afrique centrale (y compris le Congo, l'Angola, le Burundi et le Rwanda). Il est aussi le centre d’information numérique du Musée royal d'Afrique centrale de Tervuren (Belgique). Notre ensemble de données comprend des documents, des métadonnées, des informations sur les institutions et des projets de recherche, une bibliothèque et des collections de catalogues. http://www.metafro.be/

Source: Metafro

Afrikakatalog

Metafro Infosys ist ein Katalog von Daten und Datenquellen im Zusammenhang mit Zentralafrika (einschließlich Kongo, Angola, Burundi und Ruanda). Es ist auch das digitale Informationszentrum des Königlichen Museums für Zentralafrika in Tervuren (Belgien). Die Datenbank enthält Dokumente, Metadaten-Informationen über Institutionen und Forschungsprojekte, Bibliotheks-Kataloge und Sammlungen. http://www.metafro.be/

Quelle: Metafro

Dienstag, 26. Mai 2009

Deutschland will Zensur wieder einführen

«Wer die Freiheit aufgibt um Sicherheit zu gewinnen, der wird am Ende beides verlieren.» (Benjamin Franklin)

Ich möchte an dieser Stelle auf die Internetzensur in Deutschland und der EU aufmerksam machen. Die deutsche Bundesregierung versucht unter dem Vorwand von Kinderpornos - offensichtlich unter Vortäuschung falscher Tatsachen (Informationen zu diesen Unwahrheiten) - das Internet zu zensieren um sich so unliebsamer Inhalte zu entledigen. Die renomierte Fachzeitschrift c't analysiert die Argumente der Befürworter der ebenfalls kritisch (Die Argumente für Kinderporno laufen ins Leere). Da in Deutschland keine Referenden gegen Gesetze möglich sind, läuft bis Mitte Juni 2009 eine Petition, die hier im Internet unterzeichnet werden kann.

Montag, 18. Mai 2009

Mit Wolfram und Google Richtung Zukunft

Die im März als «Google-Killer» angekündigte «rechnende Wissensmaschine» (computational knowledge engine) von Stephen Wolfram sorgte für Wirbel in Blogs und Zeitungen. Nun ist Wolfram Alpha in Betrieb.

Bei Faktenfragen aus Mathematik, Technik, Naturwissenschaften, Linguistik und Wirtschaft, die sich mit Zahlen, Tabellen, Schaubildern oder Formeln beantworten lassen, klappt das gut: Die eingegebene Zahlenreihe "2, 3, 5, 7" erkennt Wolfram Alpha als Beginn der Primzahlen und setzt sie entsprechend fort. Die Frage nach "H2SO4" zeigt unter anderem eine 3D-Darstellung eines Schwefelsäuremoleküls, "uncle's uncle's brother's son" klärt entfernte Verwandtschaftsverhältnisse per Stammbaum, "2 cups orange juice + 1 slice of cheddar cheese" enthüllt Kalorien- und Proteingehalt des Morgenessens.

Auch die IP-Adresse des anfragenden Computers wird mit einbezogen, etwa bei der Bitte um eine Himmelskarte – im Browser erscheint die aktuelle Konstellation der Gestirne bezogen auf den Aufenthaltsort des Benutzers. Etwas missverständlich war die Andeutung, der Webdienst werde natürliche Sprache verstehen: Jedem, der es gewohnt ist, mit einer Maschine über Zeichenketten wie "integrate x^3 sin^2 x dx" zu kommunizieren, mag eine Formulierung wie "population density Japan vs. Germany" wie natürliche Sprache vorkommen. Aber für den 08-15-Benutzer ist das anspruchsvoll. Das liegt aber nicht nur an den grundsätzlichen Schwierigkeiten von Computern mit natürlicher Sprache, sondern auch daran, dass die Antwortmaschine eben nicht das ganze Web, sondern nur ausgesuchte Quellen durchsucht. Für die Suche nach Billigferien, Kochrezepten, Gerüchten oder Klatsch ist Wolfram Alpha weder gedacht noch geeignet – ein Google-Killer, womit der Webdienst im Vorfeld oft verwechselt wurde, sieht anders aus; hingegen eine praktische Ergänzung.

Google hingegen hat vorerst in der englischen Version einige Erweiterungen eingebaut, welche in Richtung Zukunft weisen. Doch bekanntlich sind die letzten zehn Pozent der Entwicklung am schwierigsten. Optional können Ergebnisse nur vom gleichen Tag, Monat oder Jahr angezeigt werden oder aber ausschließlich Videodateien. Auch die bereits gestorben geglaubte «Timeline» mit der chroologischen Auflistung ist wieder da! Das ist praktisch für wissenschaftliche Recherchen. Das «Zauberrad» erinnert an Clusty und präsentiert verwandte Themen. Weitere Funktionen erlauben, Suchergebnisse in Tabellenform zum Vergleich nebeneinanderzustellen und Metadaten zum Suchergebnis anzuzeigen.

Im Gegensatz zum nicht nur als Google-Killer gehanadelten, sondern auch so angekündigten Wikia Search, scheint Wolfram Alpha im Numerischen, faktischen und statistischen Bereich grosses Potential zu haben. Bei den neuen Funktionen des Marktführeres braucht man sich wenig Sorgen zu machen; viel mehr deutet ihre Einführung darauf hin, dass sie, alle schon von Nischenanbietern eingeführt, sich nun rasch etablieren werden.

Quelle: Heise Onine

Donnerstag, 30. April 2009

Vergriffene Bücher (wieder-) finden

Eine Frau sucht im Tagblatt vergriffene Bücher des Berner Dialektautors "Davel" für ihre Mutter. So findet sie rasch und günstig einige Bände.

Ein Tip, wie sie vergriffene Bücher finden können, finden sie hier: http://sprint.informationswissenschaft.ch/ Klicken sie auf Literaturrecherche, dann auf Buchhandel. Fahren sie ganz nach unten bis zum Abschnitt E. Dort finden sie drei Suchmaschinen, welche eigentlich alle Antiquariatsseiten im Internet durchsuchen. Starten sie mit Eurobuch. Geben sie vorerst nur den Autorennamen ein, weil der immer eindeutig ist, Titel varieren z.T. je nach Ausgabe. Falls das nicht reicht, suchen sie dann mit den anderen beiden.

Suchen sie nach Rudolf von Tavel (nicht Davel), dann werden Sie fündig; bei Eurobuch gibt es eine Handvoll Treffer. Achten sie auf die Anbieter: Selbst wenn das Buch eines Schweizer Anbieters etwas teurer ist als aus dem Ausland, sparen sie Portokosten. Oder bei einem Anbieter kann man gleich zwei Bücher bestellen. Also: zuerst abklären, suchen; was interessant ist merken (Lesezeichen oder Favorit) und erst dann bestellen.

Dienstag, 14. April 2009

Klosterarchiv Einsiedeln im Internet

Das bis ins 10. Jahrhundert zurückreichende Archiv des Klosters Einsiedeln macht seinen Bestand im Internet frei zugänglich. Die Digitalisierung dient auch dem Erhalt von gefährdeten Dokumenten.

Es können 20 000 Dokumentenseiten im Internet abgerufen werden. Es handelt sich dabei um über 2000 Urkunden, knapp 30 Rödel (Verzeichnisse) und 50 der wichtigsten Amtsbücher. Neben den Urkunden sind auch 16 000 Bilder von wichtigen Dokumenten im Internet einsehbar. Digitalisiert wurden Urkunden die vor 1600 entstanden sind. Die Daten wurden in dreifacher Version archiviert und zudem auf Mikrofilm gespeichert. Die Archivalien sollen damit für weitere 1000 Jahre erhalten bleiben.

Das lange Zeit kulturell prägende Kloster Einsiedeln ist auch ein grosser Grundherr, nicht nur in der Zentralschweiz, sondern auch in Zürich, dem Aargau, dem Thurgau und in St. Gallen. Weil viele Urkunden einen Bezug zum Kanton Zürich haben, wurde das Archivvorhaben vom Kanton Zürich mitfinanziert.

Quelle: Neue Zürcher Zeitung / Schweizerische Depechenagentur

Donnerstag, 26. März 2009

Soziale Netzwerke (résautage)

Virtuelle Gemeinschaften wachsen unaufhörlich. Deshalb bekommen virtuelle soziale Netzwerke einen zunehmenden Stellenwert, sowohl im sozialen wie auch im beruflichen Leben.
In sozialen Netzwerken lässt sich ein Profil erstellen mit dem schulischen und beruflichen Werdegang. Ausserdem werden Kontakte geknüpft, Erfahrungen ausgetauscht und Geschäfte abgewickelt - zumindest in der Theorie. Praktisch werden vor allem bestehende reelle Kontakte nachgebildet oder zur Teilnahme eingeladen.
In einem weiteren Schritt erfolgt dann unter Umständen (je nach Zeitaufwand, den man zu investieren bereit ist) die Teilnahme an Foren zu geschäftlichen, regionalen oder privaten Themen. So lernt man virtuell Leute kennen. Dabei ist die Gratwanderung im Netz die gleiche wie im wirklichen Leben: Wieviel gibt man von sich Preis, was behält man für sich? Im Gegensatz zur reellen Welt vergisst das Internet jedoch nie und nichts. Siehe dazu etwa: «Identitäten im Internet – das Ende der Anonymität?» (empfehlenswerte Neuerscheinung zum Thema).

  • Wichtig ist in jedem Fall, die Einstellungen betreffend Privatsphäre bewusst vorzunehmen und Privates von Gesellschaftlichem zu trennen, wie man es auch im echten Leben tut.

Bekannte professionelle Netzwerke:
Spoke http://www.spoke.com 40 Mio Mitglieder, englisch; vor allem amerikanisch, viele Führungskräfte.
LinkedIn http://www.linkedin.com 35 Mio Mitglieder, dt/en/es/fr; international, lange nur in den beiden amerikanischen Sprachen en/es verfügbar, in Europa weniger verbreitet
Xing http://www.xing.com 7 Mio Mitglieder, dt/en/es/fi/fr/hu/it/ja/ko/pl/pt/nl/sv/ru/tk/zh; sehr stark im deutschen Sprachraum, Spanien, Türkei, Europa. Lokale Veranstaltungen durch Mitglieder selber veranstaltet (Informationen durch entsprechende Gruppen).
Viadeo http://www.viadeo.com 7 Mio Mitglieder, dt/en/es/fr/it/pt/nl/
Rezonance http://www.rezonance.ch 22 000 Mitglieder, französisch; grösstes professionelles Netzwerk im Welschland, mit monatlichen Veranstaltungen, damit man sich auch richtig kennenlernen kann (was in der geographisch kleinen Westscheiz besser möglich ist).
Manager-Lounge http://www.manager-lounge.com 2000 Mitglieder, deutsch; strenge Aufnahmekriterien. Bietet auch Veranstaltungen an, v.a. in Deutschland, da ein Produkt des deutschen Manager-Magazins.

Sonntag, 8. März 2009

Konkurrenzbeobachtung in der Schweiz

Gerade in finanziell schwierigen Zeiten kommt der Konkurrenzbeobachtung wieder vermehrt Gewicht zu. Für kleinere Unternehmen stellt sich da jedoch oft die Frage des Preises. Dank einer kürzlich publizierten Studie können KMU nun am aktuellen Hochschulwissen partizipieren, das sie bereits mit den Steuern bezahlt haben...

Mit Competitive Intelligence (CI), Bezeichnung für Konkurrenzbeobachtung und Marktanalyse, in öffentlichen und privatwirtschaftlichen Institutionen der Schweiz befasst sich eine Studie zweier Studenten der führenden informationswissenschaftlichen Hochschulen der Schweiz, der HTW Chur und der HÉG Genf.

Die Studie ist das Ergebnis einer Bachelor-Arbeit, welche in Zusammenarbeit mit den beiden Fachhochschulen Haute école de gestion (HÉG) Genf, und der Hochschule für Technik und Wirtschaft (HTW), Chur, erstellt wurde. Zusätzlich unterstützt wurde die Studie durch das französische CI-Software-Unternehmen Digimind, welches bereits Online-Befragungen zu diesem Thema umgesetzt hatte und nun die Resultate publiziert. Sie kann in elektronischer Form aus dem Netz geladen werden: http://www.digimind.fr/actu/publications/etudes-de-marche/681-barometer-2008-ci-in-der-schweiz.htm

Für sämtliche Fragen, welche die Studie betreffen, stehen die beiden Studenten Matthias Kramer (deutschsprachigen Ausgabe) und Alain Mermoud (französischsprachigen Ausgabe) zur Verfügung.

Quelle: Swisslib

Montag, 23. Februar 2009

Télétravail et risques de protection des informations

La technologie a permis à de nombreuses entreprises d’étendre les frontières de leurs bureaux pour donner l’opportunité à leurs collaborateurs d’utiliser les technologies mobiles de télécommunication et de pouvoir travailler n’importe où.

Les bénéfices liés au télétravail sont nombreux: économies de coûts dues à des occupations de bureau réduites, à la suppression des distractions et des temps de trajet liés à un travail en bureau, souplesse pendant les périodes de perturbations externes et service clientèle renforcé grâce à une amplitude horaire supérieure. Votre entreprise devrait utiliser les technologies Virtual Private Networking (VPN), CITRIX, Blackberry etc. pour permettre à ses collaborateurs de rester connectés au bureau sans physiquement y être.

Quels sont les risques liés au télétravail?

Les risques associés au télétravail ne sont pas nouveaux, avant même l’ère des ordinateurs et de l’Internet, lorsqu’ils allaient en voyage d’affaires ou travaillaient à domicile, les collaborateurs transportaient avec eux des documents imprimés, des listes de clientèle, des informations confidentielles etc. Dans l’environnement de travail actuel, une très grande quantité de données importantes sont cependant stockées sur du matériel informatique. Nous devons être conscients des risques associés au télétravail. Le risque majeur est la violation des exigences légales et règlementaires, la divulgation d’informations sensibles relatives à l'entreprise à des parties non autorisées ou au public étant susceptible de porter gravement atteinte à la marque de l'emloyeur.

Voici quelques exemples courants de scénarios à risque associés au télétravail:

  • Perte physique ou vol d’informations ou appareils contenant des informations sensibles (ex. ordinateur portable, clé USB, Blackberry, PDA etc.)
  • Accès injustifié de personnel non autorisé aux biens dont la compagnie est détentrice, ex. un collaborateur autorise les membres de sa famille ou des amis à utiliser l’équipement fourni par la compagnie.
  • Utilisation d’équipement non fourni par la compagnie pour traiter des informations relatives à la compagnie ex. ordinateurs personnels utilisés pour l’exercice de son activité au sein de la compagnie.
  • Informations d’impression sans les options d’élimination adéquates ex. déchiqueteurs de documents en nombre insuffisant ou défaillance en matière de services d’élimination sécurisé des appareils de stockage des données (ex. CD, DVD et clés USB, etc.).
  • Utilisation de méthodes de communication non sécurisées, ex. Connexion à des points d’accès sans fil non sécurisés du voisinage ou des cybercafés locaux ou utilisation de logiciels de messagerie personnels pour son activité professionnelle.

Que pouvez-vous faire pour réduire les risques liés au télétravail?

  • Sécurisez physiquement vos appareils informatiques et veillez à ce qu’ils ne soient jamais accessibles en votre absence (utilisez les verrouillages fournis, s’il y en a).
  • N’autorisez jamais quelqu’un d’autre à utiliser les équipements ou appareils informatiques que la compagnie vous a fournis.
  • Utilisez toujours votre connexion virtual private network (VPN). Utiliser un VPN, c’est être sûr de posséder une connexion sécurisée. Même si quelqu’un voulait vous espionner en visualisant vos flux d’informations, rien ne serait lisible.
  • Signalez immédiatement tout incident relatif à une perte ou à un vol d’équipement ou d’appareils à l’IT helpdesk.
  • N’envoyez pas de documents confidentiels (ex. DOC, PPT et XLS) à des comptes de messagerie personnelle.
  • Ne stockez jamais de données confidentielles sur des appareils portables non protégés. Utilisez si possible les lecteurs du réseau.

Source: «Zurich» Assurance

Dienstag, 10. Februar 2009

Informationssicherheitsrisiken bei Telearbeit

Die Technologie ermöglicht es vielen Unternehmen, die Grenzen ihrer Büroräume zu erweitern: Die Mitarbeiter können mobile Telekommunikationstechnik nutzen, und praktisch überall arbeiten.

Telearbeit bietet viele Vorteile, unter anderem Kosteneinsparungen aufgrund einer geringeren Bürobelegung, keine Ablenkungen und Fahrzeiten zu einem Büro, Flexibilität während externer Unterbrechungszeiträume und einen besseren Kundenservice aufgrund längerer Geschäftszeiten. Eine Firma soll Technologien wie Virtual Private Networking (VPN), CITRIX, Blackberry usw., einsetzen, durch die die Mitarbeiter mit dem Büro verbunden sind, ohne physisch anwesend zu sein.

Welche Risiken sind mit Telearbeit verbunden?

Die mit Telearbeit verbundenen Risiken sind nicht neu, selbst vor dem Zeitalter von Computer und Internet waren die Mitarbeiter auf Geschäftsreisen bzw. nahmen gedruckte Unterlagen, Kundenlisten, vertrauliche Informationen mit nach Hause und arbeiteten dort. In der heutigen Arbeitsumgebung sind jedoch sehr viele wertvolle Daten auf elektronischen Geräten gespeichert. Wir müssen uns den mit Telearbeit verbundenen Risiken bewusst sein. Die wichtigsten Risiken bestehen in einer Verletzung von gesetzlichen oder aufsichtsrechtlichen Anforderungen, wobei der Marke des Arbeitgebers ein grosser Schaden entsteht, wenn geheim zu haltende Informationen des Unternehmens unbefugten Parteien oder der Öffentlichkeit bekannt werden.

Nachfolgend finden Sie einige allgemeine Beispiele für Risikoszenarien in Verbindung mit Telearbeit:

  • Physischer Verlust oder Diebstahl von Informationen oder Geräten, die vertrauliche Informationen enthalten (z. B. Laptop, USB-Stick, Blackberry, PDA, usw.)
  • Unangemessener Zugang durch nicht befugtes Personal zu Gegenständen im Eigentum des Unternehmens, z. B. wenn ein Mitarbeiter Familienmitgliedern oder Freunden die Verwendung der Ausrüstung gestattet, die vom Unternehmen bereitgestellt wurde
  • Verwendung von nicht vom Unternehmen bereitgestellter Ausrüstung für die Bearbeitung von Unternehmensinformationen, z. B. Nutzung von PCs für geschäftliche Angelegenheiten
  • Ausdruck von Informationen ohne geeignete Entsorgungsmöglichkeiten, z. B. kein Reisswolf oder keine sicheren Entsorgungsdienste für Datenspeichergeräte (z. B. CDs, DVDs und USB-Sticks, usw.)
  • Nutzung unsicherer Kommunikationsmethoden, z. B. Verbindung über unsichere drahtlose Zugangspunkte in der Umgebung oder lokalen Coffeeshops bzw. Nutzung persönlicher E-Mail-Systeme für geschäftliche Angelegenheiten.

Wie können die mit Telearbeit verbundenen Risiken verringert werden?

  • Sichern Sie Ihre elektronischen Geräte stets physisch und lassen Sie sie niemals unbeaufsichtigt (verwenden Sie Datensperren, falls verfügbar).
  • Gestatten Sie niemals die Nutzung Ihrer vom Unternehmen bereitgestellten elektronischen Ausrüstung bzw. Geräte durch Dritte.
  • Verwenden Sie immer eine VPN-Verbindung (Virtual Private Network). Achten Sie bei der Verwendung eines VPN darauf, dass Sie über eine sichere Verbindung verfügen. Selbst wenn jemand den Datenverkehr anschauen wollte, sind die Daten so nicht lesbar.
  • Melden Sie dem IT-Helpdesk umgehend alle Vorfälle, die den Verlust oder Diebstahl von Ausrüstung oder Geräten betreffen.
  • Übermitteln Sie keine vertraulichen Dokumente (z. B. DOC, PPT oder XLS) an persönliche E-Mail-Konten.
  • Speichern Sie niemals vertrauliche Daten auf ungeschützten tragbaren Geräten. Verwenden Sie, wenn immer möglich, Netzwerklaufwerke oder verschlüsselte USB-Geräte.

Quelle: «Zürich» Versicherung

Sonntag, 1. Februar 2009

Die Bibel für Recherche im Internet

Das Schweizer Portal für Recherche im Internet (SPRINT) der Hochschule für Wirtschaft und Technik (HTW) in Chur wurde umfassend überarbeitet. Das Portal, mit seinen zwölf Jahren ein Urgestein im Internet, wurde im Laufe des Winters 2008/2009 von Studenten der Informationswissenschaft einer grossen Revision unterzogen: Jede Information wurde überprüft, neue Trends aufgespürt und die Inhalte entsprechend ergänzt.

Das Schweizer Portal für die Recherche im Internet (SPRINT) bietet seit anfangs 1997 einem Fach- und Hochschulpublikum sowie der breiten Öffentlichkeit Informationen für die Suche im Internet. Zum einen werden umfangreiche Fachinformationen über Informationsdienste, Suchverfahren und Suchmaschinen angeboten, zum anderen vermittelt SPRINT konkrete Hilfe für die Recherche im Internet. Weiter kann über kommentierte Zusammenstellungen direkt auf zahlreiche allgemeine und spezialisierte Suchdienste zugegriffen werden. E-Learning-Angebote für das Selbststudium, Multiple-Choice-Tests, ein Glossar sowie Linkverzeichnisse runden das Angebot ab.

Umfangreiche Fachinformation
Den besten Ansatz von Lernen gibt es nicht. Daher stützt sich SPRINT auf ein didaktisches Konzept, welches einen pragmatischen Ansatz verfolgt. Lernen soll Erfahrungen ermöglichen und einen Bezug zur Lebenswelt haben. Dies äussert sich in einer explorativ und logisch strukturierten Lernumgebung gewählt, um der heterogenen Zielgruppe mit unterschiedlichem Vorwissen und unterschiedlichen Interessen gerecht zu werden. Das Angebot von SPRINT ist dementsprechend möglichst offen und vielseitig angelegt. Bei der Gestaltung wurden neben allgemeinen mediendidaktischen Aspekten insbesondere die spezifischen medialen Gegebenheiten des World Wide Web berücksichtigt.

Die Suche im Internet ist heute für viele Leute selbstverständlich und die Resultate erscheinen auf den ersten Blick oftmals zufriedenstellend. Dennoch sind bei der Recherche über Suchmaschinen verschiedene Punkte zu beachten, denn keine Suchmaschine findet auf jede Frage die passende Information und nicht jedes Verzeichnis vermerkt die gleichen Themengebiete. Angesichts der Fülle von Informationen, die über das Internet verfügbar sind, sollten Studenten, Forscher und wissenschaftliches Personal über gute Kenntnisse der vorhandenen Suchmöglichkeiten verfügen, ebenso wie über das Vorgehen bei der Informationssuche. Darüber hinaus können vertiefte Kenntnisse über die Funktionsweise, Möglichkeiten und Grenzen von Informationsdiensten die Recherchen verbessern und bei der Bewertung von Informationen hilfreich sein.

Praxis im Mittelpunkt
Das Portal will insbesondere Personen ansprechen, die das Recherchieren im Internet lernen oder ihre Recherchekenntnisse ausbauen wollen. Daher richtet es sich nicht nur an Studierende der Informationswissenschaft, sondern ist auf ein breites Hochschulpublikum zugeschnitten.

SPRINT rückt immer wieder die Recherche, d.h. die tatsächlich ausgeführte Suche ins Zentrum. Kenntnisse über Suchstrategien, Suchmethoden oder Suchverfahren sollen zur effektiven und reflektierten Nutzung von Suchdiensten führen. Dies lässt sich nur in der Praxis üben und verbessern. Die Inhalte von SPRINT sind daher als Grundlage und Ausgangspunkt für Recherchen zu verstehen, denn Recherchekompetenz lässt sich nicht vermitteln, sie kann allenfalls gefördert werden. Im passwortgeschützten Bereich, steht deshalb den Dozenten, die solche Kompetenzen fördern, didaktisch aufbereitetes und auf das Portal abgestimmtes Lehrmaterial zur Verfügung.

Seit der ersten Lancierung vor über zwölf Jahren ist SPRINT regelmässig überarbeitet, erweitert und dem neusten Stand der Technik angepasst worden. Dabei gingen dem Initianten, Prof. Dr. Bernard Bekavac, jeweils Studenten der Abschlusssemester des Studienganges Informationswissenschaft der Hochschule für Technik und Wissenschaft (HTW), Chur, zur Hand. Seit 2009 steht das Portal unter einer benutzerfreundlichen Creative-Commons-Lizenz.

Geschichte
Im Rahmen seiner wissenschaftlichen Arbeit erstellte Bernard Bekavac im Januar 1997 die Urversion von SPRINT. Regelmässig wurde das Rechercheportal aktualisiert und erweitert, unter anderem durch einen Studenten namens Joachim Griesbaum, heute bekannter Buchautor zum Thema. Die letzten grossen Überarbeitungen haben – wiederum durch Studenten – 2005 und im Winter 2008/2009 stattgefunden. SPRINT wird vom Studiengang Informationswissenschaft der Hochschule für Wirtschaft und Technik (HTW) in Chur betrieben. Ausserdem bietet SPRINT seit 2009 auch E-Learning-Angebote fürs Selbststudium und Lehrmaterialien für Dozenten.

Verknüpfung: http://sprint.informationswissenschaft.ch

Dienstag, 20. Januar 2009

Endlich Ferien – günstiges Angebot finden

«Ich sehe immer wieder Leute, die anscheinend richtig Übung mit den Suchmaschinen für billige Flüge haben. Ich bin in der Hinsicht ungeübt bis blond - vielleicht mag mir ja jemand helfen: suche einen preiswerten Flug von München nach Islamabad im nächsten Juli - ca. 4.7. - 1.8.
Ich suche auch selber, aber ich dachte, vielleicht kanns hier noch jemand besser. Nina
.»

Ich bin zwar nicht Billigflugexperte, aber Suchexperte. Am einfachsten gehst Du so vor:

1. Nimm eine Suchmaschine mit einem einzigen Suchfeld (Altavista, Ask, Cuil, Google, Yahoo, etc.). Tippe das Wort «Billigflug» ein und klicke auf «Suche». Es gibt dann über eine Million Treffer.

2. Klicke auf das erste Suchresultat mit der rechten Maustaste (oder Taste «ctrl»/Mausklick mit Macintosh und Eintastenmaus) «öffnen in einem neuen Tab» (oder neuem Fenster, falls Du einen alten Browser hast). Gib die Daten ein und lass Dir den Flug suchen.

3. Gehe zurück zum Tab/Fenster der Suchmaschine und gehe gleich vor wie unter /2./ beschrieben mit dem zweiten Suchtreffer, dann dem dritten, dem vierten, etc.

4. Tabs/Fenster, die Dir schlechte oder teurere Resultate ergeben kannst Du schliessen, die anderen (z.B. die jeweils drei billigsten) lässt Du offen.

5. Fahre so fort bis zum Suchresultat zwanzig (das ist auf der Trefferseite 2).

Hast Du nun ein zufriedenstellendes Resultat gefunden? Sonst schaust Du noch die 3. Trefferseite an. Wenn Du gefunden hast und nicht mehr suchst, dann bist Du richtig vorgegangen…

Übrigens: cuil.com durchsucht 124 Milliarden Webseiten, das ist mir Abstand der grösste Suchmaschinenindex, grösser als Google und noch grösser als die meisten anderen Suchmaschinen.
Aber eigentlich reicht Dir ja ein einziger Treffer, wenn Du die Gewissheit hast, dass er Dir den günstigsten Flug anzeigt. Nur gibt es das leider nicht. Wenn Du fünf Billigflugsuchmaschinen durchsuchst statt eine, ist die Wahrscheinlichkeit deutlich höher, ein gutes Angebot zu finden. Ich denke ab 12-15 wird es immer unwahrscheinlicher, ein noch billigeres Angebot zu finden, was jedoch nicht ausgeschlossen ist. Tipp: Setze Dir eine Zeitlimite: eine Stunde. Oder zwei. Oder drei. Egal, aber halte Dich dran, sonst suchst Du sieben Abende lang und regst Dich höchstens auf.

Sonntag, 4. Januar 2009

Digitales Gedächtnis vs. vergessen

Ein Amerikaner hält jedes Ereignis seines Lebens fest und hat, wie die NZZ am Sonntag berichtet, bisher 553 385 Dokumente gespeichert. Er hält jeden Augenblick, jede kleine Freude, jeden Streit fest, um herauszufinden, wieviel Speicherplatz ein Leben benötige. Lösung für die Zukunft?

Gordon Bell, ein 74-jähriger US-Computerwissenschafter, zeichnet alles auf. Er speichert, was ihm begegnet, was um ihn geschieht, was er liest, schreibt, sagt. Er scannt ein, fotografiert, zeichnet auf. Pensionierung sei für ihn kein Thema, seine Arbeit endet nie. 1995 fragte er sich, was er mit dem Gerümpel machen solle, das sich um ihn herum angesammelt hatte, mit den Bildern, Büchern, Papieren. Statt aufzuräumen, zu trennen, wollte er wissen, was nötig sei, um alles aufzubewahren. 2001 fing er mit Einscannen an. Eine Kamera, die an einer Schnur um den Hals hängt, zeichnet Menschen, ein GPS-Gerät Orte, ein drittes Utensil Stresssituationen, Herzschläge, Blutdruck, Kalorienverbrauch auf.

Gehirn ist Computer voraus
Sich an alles erinnern? Nie mehr vergessen? Vor langer Zeit schrieb Rainer Maria Rilke: «Es ist wichtig, sich zu erinnern. Noch wichtiger ist, zu vergessen.» Der Neuropsychologe Lutz Jäncke von der Universität Zürich sagt: «Die wichtigste Eigenschaft unseres Gedächtnisses ist vergessen. Ich bezweifle sehr, ob wir mit einem digitalen Gedächtnis umgehen könnten.» Unser Gedächtnis sammelt nicht, es interpretiert. «Ein digitales Gedächtnis würde uns überfordern, weil es uns an unwichtige, schlechte, vielleicht peinliche Dinge der Vergangenheit erinnert, die in der Rückschau aus dem emotionalen Kontext gerissen werden.» Das Lebensgefühl, der Kontext wäre nicht mehr nachvollziehbar, das Geschehene wäre es sehr wohl.

Doch auch Bell, dessen Gedächtnis frei von Unnötigem sei, da alles, sein ganzes Leben auf dem Computer gespeichert ist, kommt nicht ohne Interpretation aus: Sein Team sucht Möglichkeiten, die Datenflut zu sortieren, Wichtiges hervorzuheben, Unwichtiges zu verstecken, weil der Nutzer das nicht selber machen wolle. Vielleicht ist es doch besser, sich an Rilke zu halten und ab und zu etwas Altpapier zu bündeln.

Quelle: NZZ am Sonntag, 4. Januar 2009 (Auszüge; ganzer Artikel hier klicken)