Posts mit dem Label Publications werden angezeigt. Alle Posts anzeigen
Posts mit dem Label Publications werden angezeigt. Alle Posts anzeigen

Montag, 4. Januar 2016

Le Wiki panafricain des resources pour la Localisation est de retour

En septembre dernier, notre ami Don Osborn a commencé ramener le "Wiki panafricain des resources pour la Localisation" (PanAfriL10n) sur internet. C'est la seconde, ou plutôt la troisième transition depuis sa création il ya plus de dix ans dans le cadre du projet panafricain de localisation.

Le wiki de PanAfriL10n - hier comme aujourd'hui - était destiné à mettre l'information aux traducteurs en Afrique, et aussi pour d'autres travaillent sur des projets dans l'intersection des langues africaines et des TIC (technologies de l'information et de la communication).

Contexte
Le wiki est actuellement hébergé sur le site Bisharat, sur une base provisoire, afin de faciliter la modernisation et la mise à jour. Comme telle, il est en fait à l'endroit où il a démarré avant d'être transférés ensuite au site du projet PAL, www.PanAfriL10n.org. Ce domaine a été transféré au Réseau africain pour la Localisation (ANLoc) en 2008. Il a été géré dans le cadre du projet ANLoc jusqu'à son site web est allé hors ligne en Novembre 2013.

Le wiki a maintenant un autre nouveau look, principalement une définition fonctionnelle correspondant à une "peau" qui fonctionne bien avec la dernière version du logiciel PmWiki. Plus important encore, Dan Osborn est en train de construire un peu plus de fonctionnalités dans l'interface, et de faire quelques mises à jour. La mise à jour des cours, il faudra un effort plus large - ceux qui voudrait y participer, peuvent laisser un commentaire sur son blogue.

Raisons pour relancer le wiki de PanAfriL10n
Les principales motivations pour faire cet effort sont que d'une part que le wiki avait déjà beaucoup d'informations sur les langues africaines et la localisation, et de l'autre, il existe une demande pour de telles informations. Don Osborn a été contacté de plus en plus depuis que ANLoc est allé hors ligne.

Freitag, 27. Dezember 2013

Les bibliothèques comme les derniers défenseurs de l'accès fermé

Open Access logo PLoS whiteC'est à ce suject controverse que ont discuté des participants de la conférence Infocamp en novembre de cette année à Coire. La question qui se pose est, comment obtenir les bibliothèques sur le radar du accès libre? En effet, les bibliothèques se battent pour que les revues scientifiques ne sont pas vendus à des prix exhorbitants. Pourtant, les revues bibliothécaires ne sont pas disponible en libre accès. Pourquoi ces revue, édités par les associations de bibliothécaires ne publient pas leur magazines en accès libre?

Il n'y a pratiquement pas de journal en libre accès dans le domaine des bibliothèques qui est suffisamment répandu qu'il est également intéressant d'y publier. Pourquoi on ne demande pas aux associations de bibliothécaires de mettre en accèS libre leurs journaux sur le wéb? Ruedi Mumenthaler prenait position en tant que membre du conseil d'administration BIS qui publie Arbido: Une enquête a montré que une grande majorité paye les frais d'adhésion pour être abonné à la revue. BIS ne met par conséquence pas en ligne le numéro actuelle (paroi mobile de 3 mois) . En outre, deux organisations se doivent mettre d'accord, car Arbido est une publication commune des associations professionnelles Bibliothèque Information Suisse (BIS) et Association des Archivistes suisses (AAS).

Il devrait être normal d'adhérer à son association professionelle, même si la revue est disponible en libre accès. Ceci est le cas en Autriche où le journal de l'association autrichienne, Fachinfo, est en accès libre. De même avec le Journal of Library Science (cherches dans DOAJ), Ou encore la Zeitschrift für Bibliothekskultur. La question qui se pose (et avec une revue en libre accès encore plus) est: Quelle est la valeur ajoutée de l'adhésion à l'association professionnelle? L'attitude anxieuse de perdre des membres empêche les associations  de publier leurs revues en libre accès et sans restrictions (comme il est maintenant le cas d'Arbido).

Qu'est ce que Libre accès?
Réponse par les bibliothécaires du Canada (en français):
Bibliothèque McGill

Et encore la réponse plus en détail en anglais:
Déssin animé par Jorge Cham, se basant sur des interviews avec Jonathan Eisen et Nick Shockey (Open Access Explained! (WebCite)) [CC-BY-3.0 (http://creativecommons.org/licenses/by/3.0)], via Wikimedia Commons.



Revues scientifiques en libre accès

Donnerstag, 7. November 2013

Se distraire à en mourir

Dans un article récent, le Blog MédiaTIC à présenté les dix pages les plus populaires sur Facebook au Congo-Zaïre. En résumé, les plus populaires sont les société télépnoniques (n'y-a-t-il pas d'autres besoins que des unités téléphoniques au Congo?), suivi par un musicien français (n'y-a-t-il pas de musiciens congolais?), un site évangélique en anglais (depuis quand l'anglais est tellement répandu dans ce pays à majorité catholique?), en positions 5, 6 et 8 la presse sérieuse, avec une petite intéruption par un divertissement télévisé français.

Je pense que divertissement est le mot clé. Le Congo est un pays qui tourne mal, mais la population préfère le divertissement. Ceci n'est pas unique pour ce pays. Déjà en 1985, le théoricien des médias américain Neil Postman a publié un livre intitulé Amusing Ourselves to DeathSe distraire à en mourir»). Là, il a montré que les médias modifient profondément l'ensemble de la société humaine.

Postman pense que la forme des médias électroniques forcent à présenter n'importe quoi quel qu'en soit le contenu comme un spectacle. Il montre que la force d'un méssage ne tient d'ailleurs pas à son contenu mais à l'image et sa mise en scène, ce que se voit sur Facebook en pérmanence. Aujourd'hui les informations que nous recevons sur internet ne sont selon Postman que des distractions sans aucune importance. En conséquence, les structures qui rendaient les sociétés stables sont affaiblies. Trente ans après, le Congo se voit jeté dans l'ère des médias électroniques, ce qui nous permet de découvrir ce que nous avons perdu déjà il y a des années; sans possibilité d'arrêter ou de frêner cette évolution là-bas. Jusqu'à ce que plus rien n'ait de sens.

Montag, 26. November 2012

Thésaures libres illimités

Un thésaurus, thésaurus de descripteurs ou thésaurus documentaire, est une liste organisée de termes représentant les concepts d'un domaine de la connaissance. C'est un langage contrôlé utilisé pour l'indexation et la recherche de ressources documentaires dans des applications informatiques spécialisées.

Le Portail des Thésaurus (ou «Thesaurusportal» en allemand) http://thesaurusportal.blogspot.com contient à présent 350 thésaurus des branches les plus diverses dans 47 langues.

Le but est de réunir en un seul lieu un nombre aussi elevé que possible de thésaurus  librement accessibles en ligne ou bien accessible aux bibliothèques universitaires.

Le portail aide à trouver des outils d'indexation, à élaborer des ontologies, il contribue à la formation à la maîtrise de l'information, etc.

Le portail (qui est en fait un blog) offre la possibilité de recherche en texte libre ou bien de recherche à travers les mots clés («labels») du menu caché en haut à droite (barre en gris foncé). À gauche, on peut faire défiler la liste des thésaurus.

source: Dr. Andreas Ledl, Université de Bâle

Dienstag, 12. Juni 2012

Vivons-nous la fin des bibliothèques?

Lors de sa laeçon d'adieu à l'Université de Genève, Alain Jacquesson commenca par un petit historique sur les périodiques scientifiques où les bibliothèques passèrent du propriétaire à au locataire dès la fin de la deuxième guerre mondiale. Ceci dû au désintérêt pour l’administratif lié à la publication des chercheurs, scientifiques et savants. Jacquesson rappella la fin du ZentralBlatt mise en place dès le 19e siècle par les académies ou leurs équivalents.

Ces changements fondamentaux ne sont pas les seuls. En plus, les coûts explosent. Même si c’est moins marqué, la lecture publique est aussi concernée. Au travers de la numérisation (du gris au numérique, numérisation rétrospective, ...), la dématérialisation des objets culturels conduit à l’indifférence du lieu des savoirs, des recherches, des formations, etc. L’éloignement des sources n’existe plus.

Droit contractuel versus droit d’auteur
L’industrialisation des savoirs est facteur d’un plus grand revenu pour les actionnaires et d’une perte d’intérêt pour la transmission du savoir au public. Le droit contractuel remplace le droit d’auteur. Le prêt entre bibliothèque devient litigieux. On se souvient qu'au procès actuel entre l'École Polytechnique de Zurich et Elsevier. Les lecteurs sont par ailleurs captifs des outils liseuse ou autre à travers des contrats exclusifs, des ventes liées au matériel, des versions incompatibles, ce que Jacquesson appelle la gestion des droits numériques ou digital rights management en anglais, soit le contrôle technique de l’utilisation des ressources documentaires.

Alain Jacquesson parla des livres numériques chronodégradables ou qui «s’autodétruisent» après un nombre défini de lectures. Les éditeurs utilisent le vocabulaire des bibliothèques comme bibliothèque de prêt (lending library) ou prêt gratuit (borrow for free), mais en monétarisant le service parfois de manière cachée comme par exemple l'inscription en tant que membre obligatoire et payante.

Bénéfice privatisé, coûts à l'état
L'ancien directeur de l'École des bibliothécaires de Genève présenta un tableau séparant les services récupérés par les multinationales commerciales sur les activités des bibliothèques. En résumé, les tâches coûteuses comme catalogage, cotation, indexation restent dans les bibliothèques, pendant que publication, vente, location, prêt, donc les activités monétarisables sont reprises par les grands éditeurs internationaux. Les universités ont réagi avec les archives ouvertes, avec les preprints des physiciens, au départ, et avec l’Open Access. La déclaration de Berlin a vu le jour, mais son principe d’accès libre est remis en cause par le Sénat américain en ce moment sous pression du lobby puissant des éditeurs). L’éthique de Jacquesson ne lui permet pas de faire l’apologie du piratage.

Selon le conférencier, l'âge d’or est derrière nous. L'économie et les lois régissent maintenant la profession du bibliothécaire. Lors des questions et pour avoir une vision plus optimiste de l’avenir, il fut question de transfert d’emplois vers les sites de ventes en ligne, de l’option, pas très retenue, de devenir éditeurs, mais, par contre, de travailler avec les chercheurs et les juristes sur la libération des données sémantiques, sur l’autoédition, sur les valeurs ajoutées payantes, mais au profit des bibliothèques, du changement de mandat des bibliothèques d’un lieu de savoir à un lieu de socialisation, de discussion, de travail (on va à la bibliothèque pour travailler sans être dérangé), de tranquillité (un bâtiment pour les gens).

Il fut aussi question du boycott d’Elsevier, Springer, Wiley par Harvard et d’autres universités. Jacquesson n’y croit pas. Il pense que le boycott doit être ciblé, autrement il pénalise le chercheur, à cause du système d’évaluation actuel. Mais un changement fondamental de l’évaluation des chercheurs (facteurs d’impact et autres) par les académies pourrait être une piste de réflexion préalable au boycott.

Publications d'Alain Jacquesson:
L'informatisation des bibliothèques

Concernant la culture libre, voir ici.
Source: Sandra Levai, image: Moumou82/Wikipédia

Dienstag, 28. Oktober 2008

Guide pratique en intelligence économique

La Haute École de Gestion de Genève a mis en ligne un guide pratique en intelligence économique pour les PME de Suisse romande.

Préfacé par M. Unger, Conseiller d'État en charge de l'économie et de la santé de Genève, ce guide méthodologique est le résultat d'un projet de démarche globale en intelligence économique. Il doit permettre d'accompagner le responsable de PME dans une première démarche en intelligence économique. Il est composé d'explications théoriques et de fiches pratiques détaillant chaque aspect de la démarche d'intelligence économique.

Ce guide est accessible directement depuis l'annuaire de ressources économiques de Suisse occidentale (ARESO) à cette adresse : http://campus.hesge.ch/areso/files/guide.pdf La Haute École de Gestion de Genève espère qu'il sera utile aux professionnels de l'information travaillant dans le domaine de la veille stratégique et de l'intelligence économique.

Source: Haute École de Gestion, Filière Information documentaire

Mittwoch, 28. Mai 2008

Freie InfWiss-Quellen • Ressources libres ScInf

Bücher • Livres

Publikationsdepots • Dépôts de publications

Journals/Fachzeitschriften • Revues spécialisées

Webseiten & Datenbanken • Sites web & banques de données

Anderes • Autre

  • Liszen (Search engine that searches library and librarian blogs)
  • LibWorm (librarian RSS engine)

Quelle: http://www.infogeek.org

Dienstag, 29. Januar 2008

Échange entre professionnels

Pour l'échange entre professionnels sont souvent utilisés des listes de diffusion. Ceux qui ne sont pas branchés tout les jours, peuvent souvent s'abonner à des résumés (1 courriel par jour) ou lire les messages dans l'archive de la liste.

Association internationale de Science de l'Information
http://www.aiesi.refer.org/

Listes de diffusion (répertoire) (fr)
http://www.adbs.fr/site/repertoires/listes/index.php

Liste de diffusion SwissLib (fr/de)
http://lists.switch.ch/mailman/listinfo/swiss-lib

Mittwoch, 5. Dezember 2007

Revue Electronique Suisse de Science de l'information

RESSI – la Revue Électronique Suisse de Science de l'Information – est un périodique scientifique suisse de science de l'information en libre accès et gratuit. Revue exclusivement électronique, elle est publiée deux fois par an et est hébergé par la Haute École de Gestion de Genève.

RESSI a pour but principal le développement scientifique de la science de l'information en Suisse. Pour ce faire elle compte, d'une part, favoriser la rédaction d'écrits théoriques et pratiques en provenance du territoire helvétique et, d'autre part, mettre à la portée des bibliothécaires, documentalistes et archivistes suisses des articles issus de la communauté internationale en science de l'information. En privilégiant la publication d'articles d'auteurs majoritairement romands, la revue espère encourager la parution de travaux de recherche dans cette discipline dans notre région. Cependant elle accepte aussi des textes en allemand, italien ou anglais. Le choix de l'électronique comme unique support reflète de plus la volonté de ses créateurs de lui donner une portée plus large.

Le public visé par RESSI est la communauté suisse et internationale concernée par la science de l'information, notamment les chercheurs, les enseignants, les professionnels et les étudiants.

http://campus.hesge.ch/ressi/

Source: HEG