Montag, 22. Dezember 2014

Enseigner le 21e siècle avec les méthodes du 19e

C'est à travers du blog médiatic de Gratien Kitambala, nous avons découvert l'émission télévisé Des Clics.  C'est un magazine télévisé de 15 minutes pour la promotion de la société de l’information en Congo et pour œuvrer pour un bon usage des médias et des TIC comme outils de développement par la population. C'est beaucoup et les moyens pour le faire sont peu. Mais regardons, ce qu Espérance Bora Kasighavo nous présente dans sa 12e émission:



Pendant l'émission, le Prof. Hypolite Kitambala dwan Essa dit que le problème est d'enseigner les téchniques du 21e siècle par les moyens du 19e, voir du 18e siècle. C'est vrai et cela se voit aussi dans l'émission, quand des élèves témoignent: la théorie comme aux premiers jours de l'informatique qui n'a pas vraiment des liens avec l'application des Technologies de l'information et de la communication.

En plus un état sans argent qui oblige les écoles d'enseigner des versions précises des logiciels d'un certain producteur, au lieu de certains genres de logiciels. Où trouve-t-on ecore Microsoft Office 2003? Si c'était écrit Suite bureautique récente, les écoles pourrait aussi utiliser des versions plus récentes ou des logiciels libre comme Gnome Office, KOffice, LibreOffice, OpenOffice.org, StarOffice. Il va de soit, que cela va aussi pour les tableurs et toute autre genre de logiciels, ainsi que les systèmes d'opération (par exemple Lubuntu ou BSD).

Effectivement, il y a principalement deux avantages à adopter les logiciels libres: Le premier est économique, le second est politique. L'Afrique pourrait acquérir son autonomie informatique en les adoptant, écriva le togolais Sankoré déjà en 2012; message qui ne semble malheureusement pas vraiment arrivé au Congo. Pourtant, le logiciel libre se présente pour nombre d’Africains comme un espoir d’informatisation. Toutefois, la migration vers le libre exige une organisation du monde des développeurs et un intérêt des entreprises et des gouvernements. L’utilisation des logiciels libres pour l’Afrique représenterait, selon Ramata Soré une opportunité de réduire la fracture numérique avec le Sud.

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