Freitag, 27. September 2013

Les États-Unis pire que l'enfer

L’Allemagne orientale était une dictature communiste, dont les dirigeants ont essayé d’influencer la pensé des habitants. Après la chute du communisme en 1989, ce pays a disparu. On croyait, que c'était un des pires états en ce qui concerne les libertés de la pensé. L'enfer sur terre. À quelle échelle se situe les américains avec leur "guerre contra la terreur"?

Pendant 40 ans, le Ministère pour la sécurité de l'état de l’Allemagne orientale (communiste), un pays qui n'existe plus depuis son collapse en 1989, a espionné quasiment l'ensemble du peuple: activistes, entreprises, écoles, églises, écrivains, politiciens, téléphone, courrier, etc. Tout a été bien noté et archivé. Après la réunification de l'Allemagne orientale avec l'Allemagne fédérale, ces dossiers ont été retrouvé: 200 kilomètres de dossiers. Incroyable. Tous ces dossiers correspondent à 48 000 armoires de classement qui peuvent être placé sur un surface de 1900 mètres carré. Cette surface correspond au carré noir sur la carte de Berlin, capitale de l'Allemagne:

Comparison of the Stasi and NSA archives. The Stasi archives were a building in Berlin, the NSA archives seem to be more like a couple of entire blocks.
La deuxième surface est ceci: Depuis 7 ans, un des services intime des États-Unis, la NSA enrégistre quasiment l'ensemble des courriels du monde et aussi un grand nombre des appels téléphoniques. Juste à présent, ce service a collectionné 5 zettaoctets de donnés. Si on voudrais imprimés tout cela, ça donnera autant de papier pour classer dans environ 42 000 000 000 000 (42 billions) d'armoires de classement. C'est un peu plus que la collection des 40 ans d’espionnage des allemands. La surface nécessaire pour poser tous ces armoires de classement est donc un peu plus grande. C'est le carré à droite.

Hmm, ok. The NSA's building seems to be more than a couple of entire blocks in Berlin, and it just keeps going. This isn't easily centered in picture next to the Stasi building. 
Bref, cela semble prendre un peu plus de place que un quartier à Berlin. Donc agrandissons la carte encore un peu plus:
Ok, that didn't help too much. The point is starting to get across here...

Cela devient inquiétant. C'est déjà la moitié de Berlin qui est noircit sur cett carte qui provient d'ailleurs de l'ONG open data city.

 Zoomed out to cover large parts of the German countryside, and it's still just NSA archives. How big is this thing anyway?
En agrandissant encore, la carte montre déjà un quart de l'Allemagne, un des plus grands pays de l'Europe et nous ne voyons toujours pas toute la surface nécessaire pour poser les armoires de classement pour les espion américains de nos courriers. En regardons la carte du monde, on apprend finalement de l'absurdité de ce que le gouvernement américain fait. La surface noire montre la surface utilisé pour poser les armoires de classement nécessaires si les américains imprimeront tous les copies de nos courriels qu'ils ont fait pour nous espionner et nous voler notre vie privé, nos secrets.

...finally. So where the hated Stasi archives were a full building in Berlin, in an apples-to-apples comparison, the NSA archives would cover the Eastern part of Europe, the entire Middle East, and a good chunk of northeastern Africa. That kind of establishes the orders of magnitude we're dealing with.

Comment était la surface pour les 40 ans de dictature en Allemagne orientale? Pour ces 200 km de dossiers? Sur le premier plan? À propos: Le nom de l'agence de surveillance est-allemande était Ministerium für Staatssicherheit. C'est de l'allemand et veut dire Ministère pour la sécurité de l'état. Le nom de l'agence de surveillance américaine actuelle est National Security Agency (NSA). C'est de l'anglais et veut dire Ministère pour la sécurité de l'état.

Honni soit qui mal y pense.



Si vous voulez manipuler la carte vous-même, la voici:

Lien Stasi versus NSA. Réalisé par OpenDataCity (CC-BY 3.0)

Dienstag, 17. September 2013

Endlich Open Government Data in der Schweiz

Vor zwei Jahren sprach Kathy Riklin (cvp.) an der Open Data Konferenz in Bern und versprach, an der Sache dran zu bleiben:


Vor wenigen Tagen nun der Erfolg der Zürcher Nationalrätin; mit einer guten Zweidrittelsmehrheit passierte Open Data den Rat. http://opendata.ch/2013/09/ogd-nationalrat-2013/

Samstag, 7. September 2013

Archiviert, aufbewahrt und verschwunden

Museen zeigen die schönsten Werke der wichtigsten Künstler und lagern ein X-Faches davon im Keller. Und dort bleibt manches einfach verschollen, da es nur auf einer dem Kurator zugänglichen Karteikarte verzeichnet ist.

So hat das heutige Kunsthaus Zürich 1830 eine Statue angeschafft, die seither ihren Platz im Lager noch nie verlassen hat. Dabei gäbe es heute technische Möglichkeiten, all' diese  Preziosen der Öffentlichkeit zugänglich zu machen. Einerseits in einem Schaulager, wie etwa das Museum Rietberg; andererseits in einem Katalog, der über das Internet zugänglich ist.

Die Schweiz scheint diesbezüglich noch ein Entwicklungsland zu sein, während britische Museen wie Tate Britain oder das Viktoria- und Albert-Museum u.v.a.m. hier schon viel weiter sind. Im Moment verfügen die Schweizer Kunstmuseen zwar über die grössten und wichtigsten Sammlungen Schweizer Künstler; im Internet sind es jedoch andere Institute, welche die Nase vorne haben.

Die Neue Zürcher Zeitung lieferte eine Bestandesaufnahme und gute Analyse zum Thema: http://www.nzz.ch/aktuell/feuilleton/kunst_architektur/im-museumsverlies-verschollen-1.18143027